Blog François Brousse

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Revue Destins N°21 – Novembre 1947

« Le secret des tombes royales » (Partie 5 /9)

LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE

La porte de l’avenir s’ouvre tragiquement sur la Troisième Guerre mondiale, la guerre atomique, qui correspond cycliquement à la mort du Roi Soleil.

Louis XIV meurt en 1715. Faisons jouer la clef d’or et nous avons une date singulièrement menaçante : l’année 2015…

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Revue Destins N°23 – Janvier 1948

« Le secret des tombes royales » (Partie 6 /9)

LE ROI DU MONDE

La Troisième Guerre mondiale est comme une montagne maudite où se convulsionnent des monstres. Quand le pèlerin de l’avenir a franchi ces précipices affreux et ces sommets implacables que voit-il devant lui ?

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Revue Destins N°24 – Février 1948

« Le secret des tombes royales »
(Partie 7 /9)

LA PRISE DE CONSTANTINOPLE

Un autre cycle tourne sa roue menaçante sur le pays des Gaulois et des Francs. C’est le cycle des cinq cents années qui brasse dans ses remous Paris, Rome et Constantinople, les trois centres de l’univers.

Il commence avec les invasions barbares en plein cœur du siècle des désastres, entre 446 et 499, Attila n’ose attaquer Constantinople, se détourne sur la Gaule, qu’il inonde de six cent mille enragés et se fait battre aux Champs Catalauniques, par l’énergique Aétius.

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Revue Destins N°25 – Mars 1948

« Le secret des tombes royales » (Partie 8 /9)

LA MONTRE DE MICROMÉGAS

Voltaire n’a pas tout dit. Le géant Micromégas, en quittant la Terre pour visiter l’immensité des mondes, abandonna sur notre planète sa montre titanique et délicate que lui avaient construite les enchanteurs de l’éclatant Sirius ; cette montre, je l’ai retrouvée à moitié enfouie dans les sables du désert. Elle possède un mécanisme complexe où grandes roues et petites roues s’embrassent harmonieusement sous le mouvement des astres.

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Rama aux yeux de lotus bleu – 1ère éd. 1952

Présentation

En hiver 1952 paraît Rama aux yeux de lotus bleu qui retrace en grandes enjambées le Ramayana, une des plus grandes épopées de tous les temps qui a enchanté et enchante encore des millions de personnes. Il y a quelque six mille ans le poète Valmiki y chantait les exploits du grand sage Rama.

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, 2005, p. 188

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Revue Agni N°1 – 1953

Présentation

Agni était un des plus grands dieux de l’Inde antique.

Sa bouche mystérieuse verse des flammes, et sept rayons de lu­mière s’échappent de son corps immortel.

Agni resplendit dans le Soleil, étincelle dans les étoiles, flamboie à travers l’éclair et danse joyeusement parmi le feu des sacrifices. Il connaît les secrets de l’infini.

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Revue Agni N°5 – Automne 1954

« Victor Hugo, prophète de la Seconde Guerre mondiale »

Deux erreurs à éviter dans le domaine mystique des prophéties : l’erreur matérialiste et l’erreur bigote. Les matérialistes considèrent les prophéties comme d’abominables superstitions, des bulles d’illusions et de folies, capables de fasciner des esprits rétrogrades. Les bigots, encore plus tranchants, affirment que les véritables prophéties existent seulement dans les cadres de leur religion ; les autres proviendraient de coïncidences ou de tromperies démoniaques.

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Revue Agni N°6 – Hiver 1955

« Thalès de Millet »

L’homme est fascinant. Par endroits, sa stature voilée émerge des nuages et l’on devine la montagne immense.

Comme Pythagore, il alla chercher dans les souterrains sacrés de l’Égypte les mots de la Science parfaite. Les prêtres d’Osiris lui apprirent la bonté infinie de ce Dieu qui apporta à la Terre la civilisation du ciel. Et Thalès voulut donner aux ténèbres humaines ce talisman vivifiant. Bien entendu, les Ioniens, occupés à se dévorer, n’écoutèrent pas le sage prêchant la clémence.

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Revue Agni N°7 – Printemps 1955

« L’ancre »

[…] On ne peut éviter les souffrances que par le progrès spirituel. Ici apparaît dans toute sa gloire l’ancre d’Isis, l’ancre de fer et d’or qui fixe le navire, l’empêche d’être emporté par les souffles ténébreux. Quelle est cette ancre ? Une méthode d’ascèse intérieure, une route lumineuse vers l’esprit. Demandons‑la aux abîmes de l’Inde, aux gouffres comblés de mystiques trésors.

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Revue Agni N°8 – Été 1955

In principio

Les blessures du Christ étincelaient vivantes.
Son douloureux visage inspirait l’épouvante,
Des millions d’anges d’or sortaient en frémissant
De ses terribles plaies qu’incendiait le sang.

Ses prunelles, vibrant comme les nuits profondes,
En regardant au loin versaient des flots de mondes,
Des mondes radieux, des globes palpitants,
Qui franchissaient l’éther sur les ailes des temps,
Et s’écoulaient ainsi que des cascades d’astres.

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Revue Agni N°10 – Hiver 1956

« Le Paon »

Le Paon, cet oiseau vêtu d’étoiles, dans les mythologies antiques, se surchargeait d’une signification intense. Il représentait en somme la métempsycose. Le géant Argus possédait cent yeux, irradiés à travers son corps démesuré. Jamais il ne tombait sous l’empire du sommeil, car, dans le repos, cinquante prunelles se fermaient, cinquante restaient ouvertes. Son multiple regard dévorait les horizons.

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Revue Agni N°12 – Été 1956

Aspiration

Par ta torche céleste, ô Dieu, tu m’as brûlé.
Mon esprit, dans le feu, goûta l’intelligence.
Ton mystère de gloire éternelle s’élance
Comme un griffon géant dans le gouffre étoilé.

Ton souffle a descellé ma bouche d’acier noir
Pour en faire jaillir les hymnes de la force,
Ô Roi des majestés, tu plaças dans mon torse,
Comme une lampe bleue les trésors de l’espoir !

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Revue Agni N°13-14 – Automne 1956-Hiver 1957

RÉFLEXIONS D’UN INITIÉ SUR MICHÉE LE PROPHÈTE

« Le prophète Michée »

Michée ! Ce nom prestigieux pose une question. Il veut dire : Qui est semblable à Jéhovah ? Forme interrogative, non négative.

Ce n’est pas un refus devant la théorie qui assimile l’esprit de l’homme à l’esprit de l’Éternel. Mais c’est un sourire hautain devant l’outre­cuidance des profanes qui, satisfaits d’une vague étincelle de savoir, osent toucher le voile du Temple.

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Revue Agni N°15 – Printemps 1957

RÉFLEXIONS D’UN INITIÉ SUR MICHÉE LE PROPHÈTE

« Le Serpent qui se mord la queue »

Michée possède la loi qui fait ressembler la mort à la naissance, la fin au commencement. Le visage du nouveau‑né est ridé comme celui du vieillard. Quand un cycle touche au déclin, il reprend l’apparence du début. Au couchant resplendissent à nouveau les couleurs de l’aurore.

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Revue Agni N°16-17 – Été-Automne 1957

Rencontre avec le swami Siddheswarananda

Le swami Siddheswarananda vient de quitter ce globe inférieur pour entrer dans les sphères supérieures.

La mort, aux yeux du sage, n’est que la porte ouverte sur les plans métaphysiques.

Ayant eu le grand honneur de le rencontrer, au château de Gretz le 21 juillet 1956, nous eûmes une conversation dont je détacherai les fragments les plus importants.

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Revue Agni N°18 – Hiver 1958

Jacques de Marquette

Grand, imposant, avec une couronne de cheveux cendre, Jacques de Marquette suit un sentier incontestablement bénéfique, celui du végétarisme. Il a compris que les massacres d’animaux pèsent d’un poids terrible sur le karma humain. Il se place donc, à ce point de vue, parmi les vrais prophètes.

Sa conférence sur le Yoga royal fut un régal pour les initiés.

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Revue Agni N°19 – Printemps 1958

La vision des morts

J’avais trois yeux sur mon front noir,
Qui regardaient d’un air hagard,
Dans les ténèbres
Et sortaient cent formes funèbres
Du fond des nuits de cauchemar

Et je voyais les morts, tous les morts du passé,
Ils volaient dans le ciel, par flots bouleversés,
Entremêlant leurs bras comme des ailes sombres.
Comme un sable tragique, ils s’enfuyaient sans nombre
Et par endroits, leur nuage s’ouvrant
Me laissait voir un spectacle effrayant…

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Revue Madeloc N°17 – Août 1952

Toutes les revues| Destins| Madeloc| Sources Vives| Sources et Flammes| Dialogues| BMP| Autres revues Revue Madeloc N°17Perpignan, août 1952 Poème « La colombe gentille » publié dans Chants dans le ciel (Réédité dans Œuvres poétiques t. I, Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 1986, p. 127) Poème « Un monde inconnu » (14-06-1944) publié dans Voltiges et Vertiges, Perpignan, Imp. Labau, 1970 (Œuvres poétiques t. II, Clamart, 2e éd. La Licorne Ailée, 1988, p. 17Poème « La colombe gentille » publié dans...

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Revue Madeloc N°19 – Février 1953

Le temple du poète

J’ai jeté dans l’azur un temple de granit
Plus haut que la montagne où l’aigle fait son nid.
Ses racines de marbre ont puisé dans la terre
La force de l’abîme et le feu du mystère
Il lève en souriant son fronton radieux
Que décore le groupe extatique des Dieux.
Ses blocs audacieux insultent les années.
Des chênes, mélangeant leurs branches étonnées,
Se sentent écrasés près de son noble élan…

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Revue Madeloc N°26 – Juin-Juillet 1954

« François Brousse, le pèlerin des cimes »

Article de René Espeut

Certains poètes se contentent d’asseoir leur réputation sur un livre ou même un sonnet. D’autres, esprits vastes comme le monde, veulent capter tous les reflets et toutes les musiques dans une œuvre multiforme.

À cette dernière catégorie – la catégorie royale – appartient le poète de la Quatrième Dimension : François Brousse.

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Revue Madeloc N°27 – Août 1954

« François Brousse, le poète aux cent visages »

Dans une élégante plaquette sortie des presses de l’imprimerie Labau, René Espeut qui professe pour le poète la plus vive admiration nous donne la clef de ces mystérieux arcanes.

Gabriel Blanc

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Revue Madeloc N°34 – Juillet 1955

Mendiant de la gloire

Depuis quarante années, mendiant de la gloire
Je vais, tendant la main aux passants de l’azur.
Aux fleuves triomphants mes lèvres n’ont pu boire
Pourtant brille à mon front la tiare d’Assur.

Mes yeux font tressaillir le soleil et la lune
Et l’océan se cabre entre mes doigts sorciers.

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Revue Madeloc N°35 – Août 1955

« Aux bois »

L’extase des chênes vainqueurs
Dans l’aurore s’élève…
Tendons les urnes de nos cœurs
Vers leur divine sève !

Les Sources, enivrées d’amour,
Mêlent leurs voix éteintes
Sous l’amas des branchages lourds
Où frissonnent des plaintes.

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Revue Madeloc N°37 – Octobre 1955

« Le Poème de la Terre »

Article d’Albert Janicot

En lisant le livre de François Brousse, je songe au livre de Camille Flammarion Le Monde avant la création de l’homme », livre qui avait fait les délices de mon enfance. Je me souviens encore de la gravure représentant « l’atlantosaure », lézard géant de 35 m de long. […]

Le poète Lucrèce écrivit, dans l’Antiquité, le poème cosmogonique De Natura Rerum, poème célébrant la formation du monde. […]

En écrivant Le Poème de la Terre, François Brousse a voulu interpréter les données de la science moder­ne aux lumières de la tradition ésotérique.

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Revue Madeloc N°40 – Janvier 1956

Fleur

Ô fleur, nombre odorant du ciel !
Famille de lueurs en une seule rose,
Regards de tigre aux prunelles de l’amour,
Ô fleur, donne‑moi ton mystère !

Le rire des lutins sonne dans tes pétales,
Radiations vespérales des mers,
Tes perles de rosée sont des gouttes de braise,
Et tes muscles fluides tremblent de plaisir.

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Revue Madeloc N°43 – Mai 1956

« Ézéchiel, mage chaldéen »

Article de Gabriel Blanc

François Brousse, qui nous a déjà donné des poésies d’une haute inspiration ésotérique en commentant aujourd’hui un des livres les plus mystérieux de la Bible, se révèle un exégète aussi habile que pertinent.

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Revue Madeloc N°49 – Novembre-Décembre 1956

« François Brousse, poète ésotérique, sait aussi être parmi nous ! »

Article de Claude-Lucien Barriot

Quelques poèmes d’un François Brousse inconnu, je dirai plutôt oublié, me sont tombés sous les yeux ; les voici tels quels dans leur premier éclat, empreints d’une certaine « énigmatique » et glaciale rancœur…

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Revue Sources Vives N°1 – Février 1957

« François Brousse, le poète du subconscient »

Article de René Espeut

Comme Jadis Hercule, que sollicitaient à la fois la vertu et la volupté, le poète hésite, dans l’éternelle croisée des chemins, entre la passion et l’imagination. Brutalement, Baudelaire a tranché le débat : poésie et imagination se confondent. Cette formule s’adapte si merveilleusement à François Brousse qu’elle semble avoir été faite pour lui : faite pour lui, comme le nid pour l’oiseau, comme la forêt pour les vents, comme les perles des mers pour le col des femmes !

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