« L’ancre »
[…] On ne peut éviter les souffrances que par le progrès spirituel. Ici apparaît dans toute sa gloire l’ancre d’Isis, l’ancre de fer et d’or qui fixe le navire, l’empêche d’être emporté par les souffles ténébreux. Quelle est cette ancre ? Une méthode d’ascèse intérieure, une route lumineuse vers l’esprit. Demandons‑la aux abîmes de l’Inde, aux gouffres comblés de mystiques trésors.