J’avais pour seuls soucis
Toutes les galaxies
Et les pôles aussi.

L’incroyable illumine
Les yeux purs du brahmine
Mais l’absolu chemine.

Qui pourrait arrêter
Le bruit de la cité
Dans l’être illimité ?

Senteurs de Germinal
Offrez votre cristal
Aux choeurs du Surmental.

L’infini se dilate
Dans l’âme délicate
Qui gémit sa cantate.

21 mai 1993

François Brousse
Les Miroitements de l’infiniClamart, Éd. La Licorne Ailée, 1994, p. 378