Pensées divines
L’homme est pour l’homme le problème infini, mais il est aussi la solution parfaite.
François Brousse, Pensées divines, Revue BMP N°184-185, janv.-févr. 2000
Pensée divine
Notre moi véritable est une idée parfaite qui brille éternellement dans la pensée de Dieu. L’Idée jette son reflet dans le double abîme de l’espace et du temps. C’est notre personnalité humaine. Quand le reflet remonte au Visage de splendeur, on appelle ce phénomène la conscience universelle.
François Brousse
Revue BMP N°101, juin 1992
Pensée divine
Catholicisme et marxisme se ressemblent comme deux jumeaux ennemis. Ils craignent également l’individualisme, l’esprit critique, l’imagination. Ils émondent l’arbre humain de ses plus beaux rameaux, et, comme la vie se révolte contre leur dictature, ils la jettent dans l’horreur des bûchers ou des camps de concentration. Mais l’homme finit toujours par triompher. Il s’épanouira dans sa totalité véritable, après avoir brisé ces deux masques du despotisme éternel.
François Brousse
Revue BMP N°68, juin 1989
Pensée divine
Pour certaines âmes géniales existe une gradation, une montée vers Dieu, un arc‑en‑ciel de métamorphoses :
L’homme supérieur devient, après sa mort, l’âme d’un peuple dont il féconde les destinées.
Puis l’âme d’une religion, le dieu protégeant des millions de fidèles.
Puis l’âme de l’humanité dans son ensemble, le Grand Être humain d’Auguste Comte.
Puis l’âme frissonnante de la Terre. Dès ce moment, qui peut durer des millénaires, l’homme planétaire ira dans d’autres planètes, comme gouverneur occulte, pour accélérer leur évolution.
Toutes les planètes visitées, il reste à l’homme planétaire de se transfigurer en homme solaire. Il devient l’âme resplendissante du système, astre central et monde tournant.
La hiérarchie spirituelle se continue encore, faisant de l’homme solaire un homme galactique, maître de plusieurs milliards d’étoiles.
Au‑dessus s’élargit l’homme cosmique, embrassant la totalité des mondes dans l’espace sphérique d’un cosmos, avec ses milliards de galaxies.
Enfin, dans l’Infini‑Éternité, l’homme cosmique, brisant ses liens, se fondra en Dieu.
François Brousse
Revue BMP N°126-127, oct-nov. 1994
Pensée divine
Une émotion intense et calme, où se mêlent l’amour fraternel, le sentiment de sa propre immense puissance, l’illimité de l’imagination, suffit quelquefois à ouvrir le chakra supérieur. On perçoit alors comme une ouverture au sommet du crâne qui s’ouvre sur l’abîme de l’Infini. Souvent aussi, la vision se déploie d’une nuit étoilée, galaxies étincelantes. Impression d’exaltante et de terrifiante grandeur.
François Brousse
Revue BMP N°91, juillet 1991
Pensée divine
Le corps est enchaîné, l’entendement gît en prison. Seul, ouvrant ses ailes de lumière, l’esprit victorieux du temps, de l’espace et des causes, plane dans la totale liberté.
François Brousse
Revue BMP N°96-97, janv.-févr. 1992
Pensée divine
Certains admettent que sur la Terre les plaisirs sont compensés par des douleurs égales. Il y aurait une sorte d’équilibre inexorable où la souffrance serait l’exact reflet de la joie. Possible. Mais le monde de l’esprit, en dehors du temps, échappe à ce sinistre balancement.
Les joies de la beauté, de la vérité, de l’amour sont données généreusement, sans contrepartie. Elles forment les rayons de la grâce divine.
François Brousse
Revue BMP N°77, avril 1990
Pensée divine
Les âmes délicates éprouvent une honte poignante devant leur bonheur, alors que la souffrance abat ses griffes sur toute la Terre. Sentiment noble et pudique. Mais la Substance comprend la joie, et nous, étincelles divines, nous vibrons de bonheur, naturellement, au souffle de l’amour et de la beauté.
Quand tous les hommes atteindront la joie parfaite, le but de la planète sera réalisé.
François Brousse
Revue BMP N°43 – février 1987
Pensée divine
Devant les monstrueux mystères de l’univers, qui vont sans cesse s’agrandissant, et auxquels les nouveaux savants apportent de nouvelles ténèbres, la seule mentalité vraiment logique est la mentalité magique.
La raison nous sert à pétrir le monde, non à le connaître.
François Brousse
Revue BMP N°90, juin 1991
Pensée divine
La santé est une harmonie triple.
Notre plan mental doit chasser le doute par la torche de la certitude intuitive. Notre plan astral doit détruire les passions par le glaive de l’idéal. Notre plan physique doit écarter les maladies par le toucher du végétarisme. Mais le parfait équilibre corporel ne peut se réaliser que par l’union de ces trois ascèses. Un végétarien peut être malade s’il pêche contre la pureté ou la vérité.
François Brousse
Revue BMP N°77 – avril 1990
Pensée divine
Les orgueilleux penseurs occidentaux sont scandalisés de rencontrer dans la vieille sagesse orientale la croyance à la métempsycose.
Quoi ! L’homme, ce roi de la création, redevenir grenouille ou mouche ! Quelle indignité !
Pourtant, que les humains se regardent, sans indulgence, au miroir de la vérité.
Les uns, ne sont ils pas comme des tigres, les autres, bêtes comme des oies, malicieux comme des singes, matériels comme des porcs ?
La loi de la métempsycose, après leur mort, ne ferait que rendre tangible la forme de leur âme.
Il faut cependant avoir atteint un degré extraordinaire d’abjection pour retomber dans le gouffre animal. La loi qui joue, dans la plupart des cas, est celle de la réincarnation. Mais les mauvais et les rétrogrades sont rejetés dans les degrés inférieurs.
François Brousse
Revue BMP N°158-159, octobre – novembre 1997
Pensée divine
L’absurde tabou catholique contre les pratiques anticonceptionnelles amènera la mort du monde. Toutes les nations, surtout les primitives, multiplient leurs enfants.
Une marée irrésistible de vivants menace la Terre. L’Asie misérable et hypertrophiée, l’Amérique du Sud, mendiante et monstrueuse, arrivent par vagues au pied du promontoire européen. Quelles ressources faudra t il pour nourrir ce peuplement fou ? Des pilules stérilisantes distribuées aux femmes, freineraient l’effroyable mécanisme… Mais entendez vous le hurlement indigné des moralistes.
Une autre solution ouvrirait la route des étoiles à l’océan des hommes. On pourrait peupler les planètes inhabitées avec le bouillonnement excessif de la Terre. Encore serait il nécessaire d’atteindre ces planètes, de les transformer ensuite. Aurons nous le temps avant la catastrophe ultime ? Les événements se pressent autour de nous comme les fantômes pâles autour du sacrifice d’Ulysse.
François Brousse
Sub Rosa, Revue BMP N°113-114, juin – juillet 1993
Pensée divine
Il y a les idées mortes et les idées vivantes.
Les idées mortes flottent sur le grand courant de la conscience comme des bateaux en papier, fragilités blafardes et tristes qui se disloquent au moindre choc.
Les idées vivantes passent, elles, comme des astres aux rayons créateurs qui illuminent l’esprit – elles viennent parfois aussi comme des déesses nues qui nous mettent en rut.
Les idées mortes hantent les cerveaux érudits, l’idée vivante est la lumière du sage et la maîtresse du héros.
François Brousse
Revue BMP N°90, juin 1991
Pensée divine
La marque irrécusable de la sagesse, c’est qu’elle conduit au bonheur, non pas le plaisir passager des mortels, mais la sérénité profonde, pure, inaltérable, comme le diamant des cieux.
Quand l’homme préfère le glaive des dictateurs à la rose des princes ésotériques, l’heure de la mort sonne lentement. Le cycle de vie se termine et les désintégrations commencent.
François Brousse
Revue BMP N°70-71, septembre – octobre 1989
Pensée divine
Absurdité dangereuse de la croyance aux peines infernales. De l’autre côté des morts inférieurs qui se croient damnés, n’éprouvent plus aucun scrupules à tourmenter ou à posséder les vivants.
Ainsi augmente la somme des fautes et des souffrances. Il faut patiemment expliquer à ces faux damnés que toutes les âmes seront sauvées, inévitablement. Les fantômes renoncent alors à obséder l’humanité physique, et ils montent d’une marche l’échelle des êtres.
Quand le dogme de l’enfer éternel s’effondrera, les yeux commenceront à saisir l’éternelle lumière.
François Brousse
Revue BMP N°70-71, septembre – octobre 1989
Pensée divine
Réalisme, masque de Satan. On commence par la description d’un pot de chambre, on continue par la glorification de la peine de mort, on finit par construire des camps de concentration. Le Réalisme va de l’immonde au féroce.
François Brousse
Revue BMP N°65, mars 1989
Pensée divine
Un châtiment qui attend certaines âmes inférieures. Après la mort, elles restent liées magnétiquement au cadavre, assistent avec horreur à la putréfaction du corps et se demandent, angoissées, si la fin de la forme matérielle ne sera pas aussi leur propre fin.
François Brousse
Revue BMP N°56, avril 1988
Pensée divine
Après la mort, des gouffres vermeils gonflés de béatitudes où passent et frissonnent les anges, où les morts prennent la figure de leur âme : fleurs radiantes, globes de lumière. Puis la montée vers le monde spirituel, d’un azur ineffable. Mais hélas ! Il faut redescendre. Ceux qui restent dans la gloire bleue sont les Délivrés.
François Brousse
Revue BMP N°56, avril 1988
Pensée divine
L’éloquence la plus brillante ne peut rien contre le sombre attrait du néant.
La mort, pour un athée désespéré, semble plus douce qu’une maîtresse. On peut dormir sans souci dans le creux de ses seins éternels !
François Brousse
Revue BMP N°18, Décembre 1984
Pensée divine
Les chaînes de fer que portent les prisonniers dans leur cachot sont moins lourdes que les dogmes qu’une religion impose à ses fidèles.
François Brousse
Revue BMP N°12, Juin 1984
Pensée divine
Le volcanisme de la puberté crache la révolte contre l’homme et le social. Ces explosions, par leur déchirement, peuvent faire entrevoir l’Infini. Mais attendons la suite ! Tel jeune brise tout finit misérablement dans le cuir d’un policier ou l’écaille d’un souteneur. Le révolté devient conformiste. L’anticlérical s’apaise en curé.
Espérons qu’il leur reste quelque étincelle du volcan primitif.
François Brousse
Revue BMP N°57, mai 1988
Pensée divine
L’obsession reste tapie au dessous du niveau de notre conscience. On perçoit les mouvements du monstre en sommeil, mouvements vagues mais précurseurs d’orages. On a l’impression d’héberger en soi un démon invisible, qui dort avec un rictus moqueur en attendant la grande orgie du réveil.
François Brousse
Revue BMP N°43, février 1987
Pensée divine
Bien que les épreuves souffertes par un humain soient le résultat de son karma, il convient de ne pas le mépriser et de le considérer aussi pur qu’un ange ou qu’un maître divin.
François Brousse
Revue BMP N°12, juin 1984
Pensée divine
Il ne s’agit pas de culpabiliser ceux qui s’égarent, mais les avertir de l’abîme dans lequel ils risquent de tomber, perdant ainsi toute une existence.
François Brousse
Revue BMP N°12, juin 1984
Pensée divine
Tous les partis qui rejettent le respect de la personne humaine sont condamnés à être dévorés.
Satan a pour loi la destruction.
François Brousse
Revue BMP N°11, mai 1984
Pensée divine
Le problème des extraterrestres – ou des intraterrestres – brille de facettes insolites. Ils n’interviendront jamais dans le tourbillon politique des peuples, car leur intervention risquerait de provoquer la guerre des mondes et d’aboutir au chaos des technologies meurtrières. Surtout, il faut abandonner les chimères médiévales d’une restauration monarchique imposée à la France par des extraterrestres ! Autre illusion, croire qu’ils vont résoudre toutes nos difficultés intérieures.
L’humanité se leurre en cherchant un rédempteur qui prenne sur lui tous les péchés. Ni Jésus ni Karl Marx ni les extraterrestres ne peuvent réaliser ce miracle absurde ! Les maîtres sont des guides spirituels et non des tyrans physiques. Ils sont des révélateurs et non des boucs émissaires. Ils sont des béliers de feu et non des agneaux innocents que l’on immole à la place des coupables. Chacun est responsable de ses propres fautes et de ses propres exploits. Les grands messagers nous montrent le chemin qui monte aux étoiles, mais c’est à nous de le parcourir.
François Brousse
Revue BMP N°198 à 202, mars – juillet 2001
Pensée divine
L’idée est immuable, infinie, parfaite. La sensation se traîne péniblement dans le muable, le fini et l’imparfait. Prétendre que la sensation crée l’idée, c’est renverser la pyramide de l’intelligence, et, c’est retomber au niveau de la limace.
François Brousse
Revue BMP N°186-187-188, mars – avril – mai 2000
Pensée divine
Le surhomme véritable n’est pas le macaque dégénéré au sourire de tigre que nous a hurlé Nietzsche, mais le géant aux ailes d’aigle dont la pensée commandera aux étoiles et qui saluera fraternellement le cosmos et les dieux.
François Brousse
Revue BMP N°186-187-188, mars – avril – mai 2000
Pensée divine
La seule définition de la liberté est d’ordre métaphysique, elle consiste à n’avoir pour maître que son Moi divin.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
La Connaissance, c’est la mère éblouissante de la Béatitude.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
L’ultime vision, c’est de voir que Dieu est invisible. Il dépasse toutes les conceptions de l’humanité.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
L’ignorance est le sommeil de l’esprit, la connaissance est son réveil divin.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
Le vrai philosophe a traversé toutes les formes de vie pour atteindre la vie elle même.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
Soyez docile devant Dieu et fort devant les hommes. Mais confondre le Dieu des religions et le Dieu des philosophes est une erreur cosmique.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
TU NE TUERAS POINT : ce commandement interprété sans détour aboutit au végétarisme. Il ne faut tuer ni homme ni animal : condamnation des guerres, des révolutions, de la peine de mort, des nourritures carnivores.
François Brousse
Revue BMP N°29, novembre 1985
Pensée divine
Les âmes des bêtes égorgées rôdent dans les airs. Elles se mêlent aux éléments, surexcitent les électricités, gonflent les énergies et vomissent l’enfer sur les hommes. Dans les vagues qui hurlent autour des matelots, dans les typhons qui ravagent les peuples, dans les tremblements de terre qui dévorent les villes, dans les laves et les flammes ricanent sinistrement les animaux massacrés.
Ils se vengent.
La cuisine et le laboratoire fabriquent sans arrêt des hordes de démons. L’humanité se décidera t elle à en prendre conscience ?
François Brousse
Revue BMP N°73, décembre 1989
Pensée divine
L’humanité commence par adorer les héros sauvages qui répandent le sang des victoires. Elle adore ensuite le technicien dont la fatale science désintègre les peuples et défigure Dieu. L’humanité adorera dans le futur les poètes, démiurges des mondes surnaturels, et finira son cycle dans l’adoration des sages en contact avec les énergies angéliques.
François Brousse
Revue BMP N°73, décembre 1989
Pensée divine
Les sages sont les yeux de l’humanité, les poètes en sont la voix. Quand les yeux se ferment et la voix se tait, une ère de ténèbres tombe sur les peuples.
François Brousse
Revue BMP N°81, septembre 1990
Pensée divine
L’intuition des poètes précède toujours le travail des savants. Quand les fourmis arrivent dans la forêt, les aigles l’ont traversée depuis longtemps.
François Brousse
Revue BMP N°81, septembre 1990
Pensée divine
Les grands poètes nagent à contre-courant. Le fleuve de la vie sociale les presse et les étouffe. Comment sortir de cette eau gluante ? Un seul chemin : la volonté. Certitude d’une mission surhumaine. Joie de lutter seul contre tous. Volupté de faire scintiller l’étoile dans l’horreur des ténèbres. Orgueil et bienveillance.
François Brousse
Revue BMP N°82, octobre 1990
Pensée divine
Deux chemins montent vers l’Être : « La souffrance et l’intelligence. »
Des milliards de vivants s’égarent, et la douleur les ramène.
Quelques intelligences demeurent dans la voie divine. Elles cheminent au milieu d’une joie épanouissante…
Homme, à toi de choisir !
François Brousse
Revue BMP N°18, Décembre 1984
Pensée divine
Je regarde d’un œil étonné les matérialistes, qui croient avec désespoir au néant, et les catholiques, qui croient avec épouvante à l’enfer. Quel effroyable complexe de culpabilité grouille dans leurs entrailles, pour les empêcher de voir le Gange de miel et de feu, qui roule à travers les étoiles !
François Brousse
Revue BMP N°20, Février 1985
Pensée divine
L’avenir remplacera le culte des saints par la religion des grands hommes : poètes, écrivains, artistes, philosophes, et rejettera complètement l’idolâtrie des fanatiques ou des conquérants.
Quant aux savants, seuls les astronomes méritent qu’on leur dresse des autels. Les autres ont trop fait de mal à la Terre et à l’homme.
François Brousse
Revue BMP N°39, Octobre 1986
Pensée divine
Quand on prend le pain des pauvres pour enrichir une religion – fut elle la plus miraculeuse – on commet une œuvre de mort. C’est proprement de l’idolâtrie. Les églises qui étalent leur faste au milieu de l’indigence populaire appellent sur la splendeur de leurs flèches le glaive de l’inconnu.
François Brousse
Revue BMP N°72, novembre 1989
Pensée divine
La civilisation humaine sera sauvée quand cet arbre merveilleux, depuis les branches élites jusqu’aux racines populaires, propulsera la même sève : respect de la vie universelle, amour des individualistes. Ne faire souffrir personne, ne tuer personne. L’homme, reconnu valeur absolue, deviendra l’inébranlable assise du palais des races.
François Brousse
Revue BMP N°81, novembre 1989
Pensée divine
Pour qu’une œuvre devienne populaire, il lui suffit d’être belle. À certaines périodes, l’attraction de la Lune ou de la beauté devient irrésistible. L’océan des hommes monte lentement vers elles.
François Brousse
Revue BMP N°88-89, avril- mai 1991
Pensée divine
Les trois « D » triomphent, écrasent l’humanité moyenne : le Déterminisme, le Destin, la Domination. Les peuples esclaves rampent sous ce fatal couperet de la folie universelle.
Mais les héros, les saints, les surhommes se libèrent en montant jusqu’au domaine de la lettre « M », la métaphysique.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000
Pensée divine
Les éditeurs recherchent les auteurs passagers, les ouvrages à la mode. Ils ignorent naturellement les valeurs éternelles. Mais le vent, qui emporte les dunes de sable, respecte le sphinx.
François Brousse
Revue BMP N°83, novembre 1990
Pensée divine
L’homme cherche toujours Dieu en dehors de l’homme, c’est là l’erreur initiale : l’homme et Dieu sont identiques.
François Brousse
Revue BMP N°184-185, janvier-février 2000