L’idée est immuable, infinie, parfaite. La sensation se traîne péniblement dans le muable, le fini et l’imparfait. Prétendre que la sensation crée l’idée, c’est renverser la pyramide de l’intelligence, et, c’est retomber au niveau de la limace.
François Brousse
Revue BMP N°186-187-188, mars – avril – mai 2000