Comme l’ombre de l’homme est le fantôme noir
D’un vivant organisme aux merveilleux pouvoirs.
De même la conscience humaine n’est que l’ombre
D’un dieu prodigieux qu’emplit l’infini sombre.

François Brousse
De l’autre cygne à l’Un
Dans Œuvres poétiques, t. 2, Clamart, Éd. La Licorne Ailée,  1988, p. 249