L’humain qui s’unit à lui-même
Peut résoudre tous les problèmes
Les pontifes s’effaceront
Devant la flûte d’Obéron !
Les oiseaux, vols métaphysiques,
Suscitent de vastes musiques
L’idylle de l’ombre et du jour
Emplit l’impondérable tour,
Le double triangle s’enlace
Car l’infini change de place
L’orbe indestructible frémit
Dieu sera toujours notre ami…
20 juin 1995
François Brousse
Le Pas des songes, Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 2001, p. 88