Rama aux yeux de lotus bleu

Béziers, 1ère éd., Imp. Édition et Publicité Sodiep, 1952

 

1ère édition – Épopée du Ramayana

En hiver 1952 paraît Rama aux Yeux de Lotus bleu qui retrace en grandes enjambées le Ramayana, une des plus grandes épopées de tous les temps qui a enchanté et enchante encore des millions de personnes. Il y a quelque six mille ans le poète Valmiki y chantait les exploits du grand sage Rama. Cette fresque fut reprise au Moyen Âge par Tulsidas et à présent par Brousse avec quarante-neuf poèmes composés de tercets.

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, 2005, p. 188

En dégageant d’une légende hindoue son sens ésotérique, le poète a réussi ce miracle de nous intéresser aux amours de Rama et de Sita, à leurs cruelles épreuves et à la glorification idéale de l’épouse. Un tel sujet, qui depuis les vers marmoréens de Leconte de Lisle, paraissait évidemment usé, a pris, sous la plume de M. Brousse, un aspect nouveau et inattendu.

Gabriel Blanc
Revue Madeloc, N° 16, mai 1952

 

François Brousse nous conduit par d’exquis chemins bordés de poésie, au pays de Rama aux yeux de lotus bleu. Ces tercets sont de ravissantes fresques musicales, tintinabulantes de pierres précieuses. L’Inde vient à nous par la plume de l’auteur.

M.-L. Perot
Revue La Tribune des Poètes, N° 22, août-oct. 1952

 

Il y a des analogies, à mon point de vue, entre Rama et le Christ : comme celui-ci, il est dieu, combat le démon, meurt et ressuscite. Une pure figure de femme, Sita, épouse de Rama, apporte une note de grâce et de tendresse dans ce poème riche de toute la poésie orientale, imagé et coloré comme elle.

L., M. Bernero
« Revue des livres » dans Le Courrier vauclusien, N° 14, avr. 1952

 

 

1ère édition – Épopée du Ramayana

En hiver 1952 paraît Rama aux Yeux de Lotus bleu qui retrace en grandes enjambées le Ramayana, une des plus grandes épopées de tous les temps qui a enchanté et enchante encore des millions de personnes. Il y a quelque six mille ans le poète Valmiki y chantait les exploits du grand sage Rama. Cette fresque fut reprise au Moyen Âge par Tulsidas et à présent par Brousse avec quarante-neuf poèmes composés de tercets.

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, 2005, p. 188

 

En dégageant d’une légende hindoue son sens ésotérique, le poète a réussi ce miracle de nous intéresser aux amours de Rama et de Sita, à leurs cruelles épreuves et à la glorification idéale de l’épouse. Un tel sujet, qui depuis les vers marmoréens de Leconte de Lisle, paraissait évidemment usé, a pris, sous la plume de M. Brousse, un aspect nouveau et inattendu.

Gabriel Blanc
Revue Madeloc, N° 16, mai 1952

 

La forme des vers de notre ami n’est pas seulement parnassienne, elle est aussi incantatoire. Les vers groupés trois par trois suivant la loi du ternaire magique présentent tout l’enchantement et toute la féerie des vieilles légendes hindoues. […] Ce qu’il faut louer dans les vers de Brousse, c’est non seulement la perfection du style, mais la fraîcheur de l’inspiration et la profondeur du symbolisme. […] Nous admirons des descriptions de la nature orientale exécutées avec beaucoup de grâce, de pureté et de richesse (« La Nuit », « La Lune »). […] Ce livre en apparence traditionaliste par la forme est en réalité révolutionnaire par le fond.

Albert Janicot
Revue Tramontane, N° 342, févr. 1952

 

François Brousse nous conduit par d’exquis chemins bordés de poésie, au pays de Rama aux yeux de lotus bleu. Ces tercets sont de ravissantes fresques musicales, tintinabulantes de pierres précieuses. L’Inde vient à nous par la plume de l’auteur.

M.-L. Perot
Revue La Tribune des Poètes, N° 22, août-oct. 1952

 

Il y a des analogies, à mon point de vue, entre Rama et le Christ : comme celui-ci, il est dieu, combat le démon, meurt et ressuscite. Une pure figure de femme, Sita, épouse de Rama, apporte une note de grâce et de tendresse dans ce poème riche de toute la poésie orientale, imagé et coloré comme elle.

L., M. Bernero
« Revue des livres » dans Le Courrier vauclusien, N° 14, avr. 1952

 

« Rama aux yeux de lotus bleus » de François Brousse

François Brousse s’évade lui aussi, mais dans la légende. Ses « tercets ramapanthides » empruntent aux légendes hindoues les descriptions classiques dans la forme des paysages exotiques et les évocations des divinités qui gravitent autour de Vishnou pour la gloire du Soleil, de la Terre, de l’Univers, dont Rama est la personnification fabuleuse.

Les alexandrins majestueux prêtent à François Brousse le rythme large que la grandeur du sujet demande. Et les termes hindous sonnent dans les vers comme l’écho du bronze.

« Rama », édité à Béziers, constitue une plaquette en vente dans les Librairies.

L’Indépendant (édition Perpignan), mardi 15 avril 1952

 

La forme des vers de notre ami n’est pas seulement parnassienne, elle est aussi incantatoire. Les vers groupés trois par trois suivant la loi du ternaire magique présentent tout l’enchantement et toute la féerie des vieilles légendes hindoues. […] Ce qu’il faut louer dans les vers de Brousse, c’est non seulement la perfection du style, mais la fraîcheur de l’inspiration et la profondeur du symbolisme. […] Nous admirons des descriptions de la nature orientale exécutées avec beaucoup de grâce, de pureté et de richesse (« La Nuit », « La Lune »). […] Ce livre en apparence traditionaliste par la forme est en réalité révolutionnaire par le fond.

Albert Janicot
Revue Tramontane, N° 342, févr. 1952

« Rama aux yeux de lotus bleus » de François Brousse

François Brousse s’évade lui aussi, mais dans la légende. Ses « tercets ramapanthides » empruntent aux légendes hindoues les descriptions classiques dans la forme des paysages exotiques et les évocations des divinités qui gravitent autour de Vishnou pour la gloire du Soleil, de la Terre, de l’Univers, dont Rama est la personnification fabuleuse.

Les alexandrins majestueux prêtent à François Brousse le rythme large que la grandeur du sujet demande. Et les termes hindous sonnent dans les vers comme l’écho du bronze.

« Rama », édité à Béziers, constitue une plaquette en vente dans les Librairies.

L’Indépendant (édition Perpignan), mardi 15 avril 1952