Thot Hermès le prince de l’éternité

Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 2010 – 7 euros

Édition numérique – 5 euros

Le roi de Thèbes

Le septième Hermès Trismégiste, celui qui vivait pendant le bouillonnement de la gnose, à l’aurore du christianisme et qui, dans sa main toute-puissante, contient les secrets de l’éternité, nous donne un majestueux portrait du souverain :

C’est la vertu du roi, c’est son nom seul qui garantit la paix ; on le nomme le roi parce qu’il marche dans sa royauté et sa puissance et qu’il règne par la raison et la paix. Il est au-dessus de toute royauté barbare ; son nom même est un symbole de paix. Le nom seul du roi suffit souvent pour repousser l’ennemi. Ses statues sont des phares de paix dans la tempête. La seule image du roi produit la victoire, donne à tous la sécurité et rend invulnérable.

Des historiens se sont indignés contre cette adoration bassement adulatrice du monarque, mais cette indignation prouve leur erreur. Nous n’avons pas affaire à un courtisan prosterné devant un despote oriental. Hermès parlait des grands initiés, des maîtres de la sagesse, des rois de l’esprit. Il célèbre les instructeurs divins et non les brutes couronnées.

Quelle est la vertu du roi, son nom mystérieux qui est un symbole de paix, son titre initiatique ? Quelle tiare spirituelle ceint son large front ?

Hermès étant le brûlant trait d’union entre l’Égypte hiératique et la libre Hellénie, la formule sacrée se condense en ces trois mots : Roi de Thèbes. Les initiés supérieurs prenaient ce titre prestigieux, comme les maçons de certains grades s’appellent « Empereurs d’Orient et d’Occident ». […]

François Brousse
Thot Hermès le prince de l’éternité, p. 9-10

Le roi de Thèbes

Le septième Hermès Trismégiste, celui qui vivait pendant le bouillonnement de la gnose, à l’aurore du christianisme et qui, dans sa main toute-puissante, contient les secrets de l’éternité, nous donne un majestueux portrait du souverain :

C’est la vertu du roi, c’est son nom seul qui garantit la paix ; on le nomme le roi parce qu’il marche dans sa royauté et sa puissance et qu’il règne par la raison et la paix. Il est au-dessus de toute royauté barbare ; son nom même est un symbole de paix. Le nom seul du roi suffit souvent pour repousser l’ennemi. Ses statues sont des phares de paix dans la tempête. La seule image du roi produit la victoire, donne à tous la sécurité et rend invulnérable.

Des historiens se sont indignés contre cette adoration bassement adulatrice du monarque, mais cette indignation prouve leur erreur. Nous n’avons pas affaire à un courtisan prosterné devant un despote oriental. Hermès parlait des grands initiés, des maîtres de la sagesse, des rois de l’esprit. Il célèbre les instructeurs divins et non les brutes couronnées.

Quelle est la vertu du roi, son nom mystérieux qui est un symbole de paix, son titre initiatique ? Quelle tiare spirituelle ceint son large front ?

Hermès étant le brûlant trait d’union entre l’Égypte hiératique et la libre Hellénie, la formule sacrée se condense en ces trois mots : Roi de Thèbes. Les initiés supérieurs prenaient ce titre prestigieux, comme les maçons de certains grades s’appellent « Empereurs d’Orient et d’Occident ». […]

François Brousse
Thot Hermès le prince de l’éternité, p. 9-10

Table des matières

 

Thot Hermès le prince de l’éternité

I – Le roi de Thèbes

9

II – Les nombres sacrés

15

III – L’enfance du géant rouge

23

IV – Le noble Voyageur

28

V – Le message chiffré du grand Hermès

35

VI – La Grande Pyramide et le grand Hiérophante

43

VII – Le déluge égyptien

53

VIII – L’introuvable momie

59

IX – Le grand témoignage de l’Atlantide disparue

65

X – Les dates prophétiques

73

XI – Hugo et Paracelse

81

XII – Arcanes et mages

89

XIII – Un prêtre égyptien nommé Osarsiph…

95

XIV – Les mystères d’Orphée  

109

XV – Dans les puits de l’Au-delà         

117

XVI – Les quatre sciences de l’ésotérisme chrétien       

127

XVII – Le Trismégiste ou le quatrième Hermès

137