Philosophies

Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 2011 – 23 euros

Édition numérique (Actuellement en ligne gratuitement)

Quatrième de couverture (Extrait)

Cette sélection de treize conférences, choisies pour leurs sujets philosophiques, forme un manifeste et un précieux condensé de l’œuvre de François Brousse. Orateur extraordinaire, plus de cinq cents conférences ont été recensées.

Les titres présentés sont : La nature de l’hommeLa communication des sens et de l’espritLe voyage de l’âme après la mortLe dieu des philosophes et le dieu des religionsL’esprit et la psyché
Dieu existe-t-il ?L’homme est-il responsable de son destin ?Sciences et religionsTrois réalités : fatalité, providence, libertéPsychologie et métaphysiqueDes idées et des mondes

Conférence, Paris, 21 février 1992 – « Trois réalités : fatalité, providence, liberté »

Le sujet que je vais aborder ce soir est un de ceux qui préoccupent l’humanité depuis le commencement de son existence, à savoir le rapport entre les trois forces : la fatalité, la liberté humaine et la providence. Il faut dire que la fatalité existe d’une manière terrible, par le seul fait que nous sommes enfermés dans un corps humain ; c’est donc une fatalité ; le corps humain avec toute sa quantité de maladies, d’erreurs et de faiblesses est exactement la cage de l’esprit. Cette fatalité peut être supprimée par la providence.

La providence est le sourire de Dieu quand il regarde le genre humain, et qu’il lui montre les chemins de la vie étoilée. Dieu est, en quelque sorte, au fond de tout ; il est la seule réalité, toutes les autres ne sont que des apparences. Le corps est une apparence ; l’âme est une apparence ; j’allais presque dire que l’esprit est une apparence ; la seule réalité est l’être infini, absolu et parfait. Comment faire au milieu de tout cela ?

L’incarnation de la fatalité est très nette, en dehors du fait que nous sommes enfermés dans un corps, elle se trouve dans les conquérants, les dictateurs, ceux qui imposent leurs lois à coups de sabre. On ne peut même pas dire que ceux-là sont des envoyés de l’ignorance ; ils règnent sur toute la Terre. Ils nous imposent leur violence, leur folie et leur ignorance. À côté de cela, il y a les grands maîtres qui apportent la vérité aux êtres humains ; ces maîtres sont toujours les mêmes en ce sens que leurs messages sont identiques. Il n’y a pas deux vérités ; il n’y en a qu’une seule, et cette vérité est celle-ci :

– Nous sommes sur la Terre pour découvrir lentement notre nature divine, et quand nous l’aurons découverte, nous serons absolument libérés.

François Brousse
Philosophies, p. 375-376

Quatrième de couverture (Extrait)

Cette sélection de treize conférences choisies pour leurs sujets philosophiques, forme un manifeste et un précieux condensé de l’œuvre de François Brousse. Orateur extraordinaire, plus de cinq cents conférences ont été recensées.

Les titres présentés sont : La nature de l’hommeLa communication des sens et de l’espritLe voyage de l’âme après la mortLe dieu des philosophes et le dieu des religionsL’esprit et la psyché
Dieu existe-t-il ?L’homme est-il responsable de son destin ?Sciences et religionsTrois réalités : fatalité, providence, libertéPsychologie et métaphysiqueDes idées et des mondes

Conférence, Paris, 21 février 1992 – « Trois réalités : fatalité, providence, liberté »

Le sujet que je vais aborder ce soir est un de ceux qui préoccupent l’humanité depuis le commencement de son existence, à savoir le rapport entre les trois forces : la fatalité, la liberté humaine et la providence. Il faut dire que la fatalité existe d’une manière terrible, par le seul fait que nous sommes enfermés dans un corps humain ; c’est donc une fatalité ; le corps humain avec toute sa quantité de maladies, d’erreurs et de faiblesses est exactement la cage de l’esprit. Cette fatalité peut être supprimée par la providence.

La providence est le sourire de Dieu quand il regarde le genre humain, et qu’il lui montre les chemins de la vie étoilée. Dieu est, en quelque sorte, au fond de tout ; il est la seule réalité, toutes les autres ne sont que des apparences. Le corps est une apparence ; l’âme est une apparence ; j’allais presque dire que l’esprit est une apparence ; la seule réalité est l’être infini, absolu et parfait. Comment faire au milieu de tout cela ?

L’incarnation de la fatalité est très nette, en dehors du fait que nous sommes enfermés dans un corps, elle se trouve dans les conquérants, les dictateurs, ceux qui imposent leurs lois à coups de sabre. On ne peut même pas dire que ceux-là sont des envoyés de l’ignorance ; ils règnent sur toute la Terre. Ils nous imposent leur violence, leur folie et leur ignorance. À côté de cela, il y a les grands maîtres qui apportent la vérité aux êtres humains ; ces maîtres sont toujours les mêmes en ce sens que leurs messages sont identiques. Il n’y a pas deux vérités ; il n’y en a qu’une seule, et cette vérité est celle-ci :

– Nous sommes sur la Terre pour découvrir lentement notre nature divine, et quand nous l’aurons découverte, nous serons absolument libérés.

François Brousse
Philosophies, p. 375-376

Table des matières

 Série de treize conférences sur des sujets philosophiques

La nature de l’homme

Conférence du 18 décembre 1975 à Prades

11

Les visages de l’éternel

Conférence du 7 mars 1978 à Perpignan

35

Les différentes âmes

Conférence du 17 mars 1978 à Prades

76

La communication des sens de l’esprit

Conférence du 27 juin 1979 à Paris

112

Le voyage de l’âme après la mort

Conférence du 2 avril 1987 à Perpignan

147

Le Dieu des philosophes et le Dieu des religions

Conférence du 19 janvier 1988 à Paris

193

L’esprit et la psyché

Conférence du 19 février 1988 à Paris

235

Dieu existe-t-il ?

Conférence du 30 novembre 1989 à Perpignan

270

L’Homme est-il responsable de son destin

Conférence du 16 octobre 1990 à Paris

304

Sciences et religions

Conférence du 11 décembre 1990 à Paris

337

Trois réalités : Fatalité, Providence, Liberté

Conférence du 21 février 1992 à Paris

373

Psychologie et métaphysique

Conférence du 24 avril 1992 à Paris

411

Des Idées et des Mondes

Conférence du 10 décembre 1992 à Paris

453