L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles

Conférence, Paris, 15 octobre 1985

Clamart, 2e éd. La Licorne Ailée, 1994 – 5 euros

L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles (Extrait)

[…] Dans la profondeur des cryptes initiatiques hindoues, babyloniennes ou égyptiennes, l’image de l’homme se manifestait comme un triple talisman, un dieu à trois têtes. La première tête désigne le corps, la deuxième tête, l’âme, la troisième l’esprit. On rencontre ce mys­tère dans saint Paul, véritable initié, qui, comme tel, voilait très soigneusement ses doctrines. Nous sommes donc en présence d’une trinité. Elle s’exhale à travers tous les mondes et se retrouve dans tous les règnes, no­tamment dans « la science des étoiles. » Il y a en quelque sorte, depuis que l’homme contemple le monde, trois grandes dispensations qui permettent de comprendre la profondeur du gouffre constellé. On dénombre trois attitudes : l’attitude moderne, c’est‑à‑dire l’astronomie ; l’attitude antique, c’est‑à‑dire l’astrologie ; et l’attitude éternelle, c’est‑à‑dire l’astrosophie. […]

L’astrosophie, sous l’angle essentiel, est bien la sa­gesse des astres. Elle se compose de plusieurs aspects que je vais résumer en trois figures.

Le premier aspect est la datation parfaitement précise des grandes ères mondiales. Depuis deux siècles environ, on se bat avec énergie pour savoir à quel moment le Soleil est entré dans le signe du Verseau. La réponse de l’astrosophie est très précise, et s’appuie sur des constatations irréfutables que je développerai plus loin.

Les rapports entre les ères astrologiques, les ères numérologiques, les tarots et les planètes, font partie également de l’astrosophie.

Enfin, je vous parlerai de l’arrivée des archanges planétaires et aussi des grandes odyssées de l’âme, avant et après la mort. Toutes ces aventures font encore partie de l’astrosophie. […]

François Brousse
L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles, 1994, p. 7-10

L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles (Extrait)

[…] Dans la profondeur des cryptes initiatiques hindoues, babyloniennes ou égyptiennes, l’image de l’homme se manifestait comme un triple talisman, un dieu à trois têtes. La première tête désigne le corps, la deuxième tête, l’âme, la troisième l’esprit. On rencontre ce mys­tère dans saint Paul, véritable initié, qui, comme tel, voilait très soigneusement ses doctrines. Nous sommes donc en présence d’une trinité. Elle s’exhale à travers tous les mondes et se retrouve dans tous les règnes, no­tamment dans « la science des étoiles. » Il y a en quelque sorte, depuis que l’homme contemple le monde, trois grandes dispensations qui permettent de comprendre la profondeur du gouffre constellé. On dénombre trois attitudes : l’attitude moderne, c’est‑à‑dire l’astronomie ; l’attitude antique, c’est‑à‑dire l’astrologie ; et l’attitude éternelle, c’est‑à‑dire l’astrosophie. […]

L’astrosophie, sous l’angle essentiel, est bien la sa­gesse des astres. Elle se compose de plusieurs aspects que je vais résumer en trois figures.

Le premier aspect est la datation parfaitement précise des grandes ères mondiales. Depuis deux siècles environ, on se bat avec énergie pour savoir à quel moment le Soleil est entré dans le signe du Verseau. La réponse de l’astrosophie est très précise, et s’appuie sur des constatations irréfutables que je développerai plus loin.

Les rapports entre les ères astrologiques, les ères numérologiques, les tarots et les planètes, font partie également de l’astrosophie.

Enfin, je vous parlerai de l’arrivée des archanges planétaires et aussi des grandes odyssées de l’âme, avant et après la mort. Toutes ces aventures font encore partie de l’astrosophie. […]

François Brousse
L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles, 1994, p. 7-10

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L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles

Conférence, Paris, 15 octobre 1985