Amida Bouddha

L’infinie lumière et la compassion illi­mitée

 

Le vœu suprême d’Amida Bouddha

Amida, le Dieu essentiel du Tibet, a prononcé le vœu suprême : il a refusé de rentrer dans le Nirvana tant que tous les êtres, de l’atome au déva, ne seront pas sauvés.

Il reste par conséquent dans le monde relatif et s’incarne régulièrement.

À travers les bouleversements, les tristesses, les horreurs, toujours une force d’Amida se manifeste parmi les peuples et permet aux âmes de bonne volonté de tracer leur chemin vers l’Étoile éternelle.

François Brousse
Le Livre des révélations, t. 1, Clamart, 3e éd., La Licorne Ailée, 1992, p. 10

Amida Bouddha et le Wesak

Nous savons que, dans le Wesak, il se produit un phénomène assez extraordinaire : Amida Bouddha apparaît et il répand immédiatement une bénédiction sur tous les êtres, c’est-à-dire que, pendant cette nuit du Wesak, tous les êtres sont illuminés d’une manière quelconque.

Il a une espèce de sceptre dans lequel est condensée la force universelle. Ce sceptre, lorsqu’il répand cette force sur le monde, nous communique des rêves absolument effarants et nous permet de communiquer avec l’éternel, l’infini et l’absolu. Voilà en quoi consiste le Wesak : c’est la communication entre l’homme et Dieu et la connaissance de ce que l’homme n’est que le reflet de Dieu.

François Brousse
Entretien, Revue BMP, N°198-202, mars-juill. 2001

 

Le Bouddha éternel, Amida Bouddha, l’essence même de la bouddhéité et qui est le maître du Soleil, apparaît aux yeux des initiés. Il se produit un rituel extraordinairement savant et magique où les initiés de chair appellent les initiés d’esprit. Pendant de nombreux siècles, les initiés de chair se groupaient sur un des plateaux de l’Himalaya […]. Dans le cœur de la pleine lune apparaissait le visage éblouissant d’Amida Bouddha, l’infinie lumière et la compassion éternelle. Cette cérémonie très initiatique et très secrète se prolonge toujours de nos jours. […] Le Bouddha éternel, Amida Bouddha, Amitayus, délivre un message qui caractérise l’ensemble de l’année. 

François Brousse
Conf. « Wesak 1985 », Paris, 26 juin 1985

 

LE DISCIPLE

Ô Maître, Bouddha éternel
Devant qui les grands dieux s’inclinent,
Refuge des êtres mortels,
Donne-moi la haute doctrine !

Protège ton disciple errant
Dans les ténèbres de la Terre,
Montre-lui ton front fulgurant
Qui déchire tous les mystères.

Pour conquérir le Nirvana
L’homme rêve, pleure et t’implore,
Plus pur que le feu de l’Etna
Dévoile ta face d’aurore…

François Brousse
L’Aigle blanc d’Altaïr, Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 1987, p. 42

 

La nuit du Wesak

Cette nuit-là, c’est-à-dire toutes les années, à la pleine lune du mois de mai, une cérémonie initiatique se déroule sur les hauts plateaux de l’Himalaya. Depuis la mort de Bouddha, elle s’est transmise de siècle en siècle et de millénaire en millénaire. […] La nuit du Wesak, tous les initiés de la Terre se réunissent. Une grande partie des initiés d’Asie viennent en chair et en os. Ceux-là peuvent se déplacer quoiqu’il soit très difficile de se déplacer dans le Tibet, étant donné que les hélicoptères chinois surveillent toutes les manifestations de ce genre et sont prêts à intervenir d’une manière brutale et négative.

À côté de ceux-là, existent les initiés […] qui, par la puissance de leur pensée, se détachent de leur corps physique et viennent assister à la renaissance du bouddhisme éternel. Il y en a qui viennent de tous les coins du monde. J’ai pu constater qu’il y en avait à peu près une cinquantaine […]. Chaque Wesak, le grand maître, le Bouddha, l’éternel Dieu, promulgue un oracle qu’il faut capter, écouter avec sa troisième oreille et transmettre, non pas à l’humanité, mais simplement aux quelques cercles d’initiés qui sont capables de le comprendre et de le vivre. 

François Brousse
Conf. « Wesak 1982 », Paris, 17 mai 1982

 

Qu’est-ce que le Wesak ?

C’est la grande nuit divine qui célèbre l’anniversaire de la naissance de Sakyamuni. Pour les bouddhistes, Sakyamuni, autrement dit, Bouddha, est le seul à avoir atteint sur la Terre à la dignité de la septième race. Jésus, par exemple, n’aurait atteint qu’à la sixième race. La septième race, celle qui verra l’épanouissement de l’homme dans la splendeur de Dieu, a un représentant sur la Terre, un seul paraît-il, qui serait le Bouddha. […]

Le Wesak célèbre sa naissance, mais il célèbre aussi l’apparition qui semble tangible de l’éternel Bouddha, c’est-à-dire Amida Bouddha qui apparaît toutes les années aux environs du 7 mai pour transmettre à la Terre une immense puissance et une bénédiction qui remplit les êtres – pendant au moins quelques secondes – de vibrations divines.

François Brousse
Conf. « La vérité sur le Wesak et la fête du feu initiatique », Paris,  24 juin 1986 

 

À un moment donné, dans l’astre central qui est à la fois la lune et le soleil et qui brille au zénith du monde, apparaît le visage d’Amida Bouddha, le seigneur de compassion infinie et de la lumière illimitée.

À ce moment-là, il délivre un message que l’on entend avec sa troisième oreille et qui est compris par tous les initiés présents.

Lorsque la cérémonie est terminée, un rayon de la huitième couleur jaillit d’Amida Bouddha ; ce rayon traverse les corps aériens des initiés, il devient un rayon violet, mauve qui se répand sur toute la Terre qui doit se sentir, ne fût-ce que douze secondes, meilleure et transportée sur un plan à demi divin.

Cela ne dure hélas que douze secondes ! Et c’est habituellement à l’intérieur du rêve, et on ne peut que le traduire d’une manière intérieure.

 

François Brousse

Conf. « Wesak 1987 », Paris, 23 juin 1987

Le royaume d’Amida Bouddha

Il suffit de penser à lui et de prononcer le nom d’Amida Bouddha avec ferveur au moment de la mort pour renaître dans le paradis de l’Ouest, là où siège Amida Bouddha sur un trône de rayons inextinguibles et devant lui, s’étend un lac d’un bleu ineffable.

Ce lac renferme des lotus fermés. Lorsqu’une âme naît dans le monde d’Amida Bouddha, quand quelqu’un meurt dans un monde terrestre en prononçant le nom d’Amida Bouddha, il renaît à l’intérieur d’un lotus qui s’ouvre et qui est pénétré d’un grand rayon rénovateur du grand Bouddha de tous les bouddhas. On peut donc être sauvé en prononçant son nom à notre mort et en ayant suivi ses préceptes : l’amour, le végétarisme, la sagesse. Car Amida Bouddha est pire que François Brousse et il n’admet pas qu’on puisse manger, fût-ce un gramme de viande et de poisson. Et si à travers une abstinence parfaite, vous arrivez à penser à lui au moment de la mort, vous êtes sauvés.

Amida Bouddha est une puissance divine qui s’est donc incarnée il y a quelques milliers d’années pour apporter la sagesse aux hommes.

Son vœu de ne pas quitter la sphère humaine tant que tous les êtres ne seront pas sauvés fait de lui l’image du Sage suprême. On peut identifier dans un certain sens Amida Bouddha à Sanat Kumara, l’éternel adolescent aux seize printemps. C’est une des puissances cosmiques les plus hautes et des plus extraordinaires.

Il apparaît lors de la nuit du Wesak et il répand des rayons vivificateurs sur toute la Terre. La nuit intemporelle du Wesak s’étend habituellement du 7 mai au 28 mai.

Il serait plus que Bouddha ; il serait l’esprit éternel et parfait de Bouddha dont Sakya Mouni n’est qu’une incarnation sur la Terre, incarnation aussi parfaite soit-elle. Il y a le même rapport entre Maitreya et François Brousse qu’avec Amida Bouddha et Bouddha. Amida Bouddha est une force cosmique d’où sont sortis tous les bouddhas du passé, du présent et du futur. Cela fait partie des mystères ineffables qui ne doivent être révélés qu’à la fin des temps. Or nous y sommes.

Amida Bouddha est encore plus grand que Maitreya qui adombre actuellement les grands maîtres. Pendant deux mille ans environ, ce fut une divinité appelée Christ qui adombra tous les grands prophètes de l’ère chrétienne et depuis 1792 environ, le Christ a pris sa retraite et ce n’est plus lui qui illumine les êtres humains, c’est l’entité spirituelle appelée Maitreya. Je félicite tous ceux dont la bonne volonté et la pureté de cœur font adresser des prières à Jésus-Christ mais c’est comme s’ils demandaient un avantage à l’ancien patron, détrôné, depuis des dizaines d’années, et remplacé par un nouveau patron. Donc l’ancien patron ne peut que leur envoyer sa bénédiction mais c’est à peu près tout. Il ne peut rien faire au point de vue physique, même au point de vue universel.

Tous ces êtres-là ne sont pas absolus. Le seul absolu est Dieu, tous les autres sont volatils. Aussi grands soient-ils, ils restent des êtres limités. Seul Dieu est l’être infini, éternel et parfait ; tous les autres s’approchent de lui, ils sont étagés sous lui mais ils ne sont pas Dieu. En réalité aucun de nous n’est Dieu mais nous sommes tous Dieu. Nous n’arriverons jamais à être Dieu attendu qu’après avoir été Dieu, nous nous apercevrons qu’il existe un Sur-Dieu ; puis après avoir été ce Sur-Dieu, nous nous apercevrons qu’il existe un Super-Sur-Dieu et ainsi de suite à l’infini.

François Brousse
Entretien, Clamart, 23 sept. 1989

Quelques messages d’Amida Bouddha

au Wesak

Recueillis par François Brousse

EXTRAITS

Message d’Amida Bouddha – Wesak 1982
Les tombes des cimetières sont ouvertes et les âmes ressuscitées montent du fond de la Terre. Elles chantent un chant profond dont le refrain déclare que le karma n’est qu’un songe, une illusion, une maya. Il règne inexorablement dans le monde inférieur que le temps, l’espace et la causalité emprisonnent. Dans l’empire de la matière, le karma triomphe, mais quand on s’élève dans la sphère de l’absolu, il s’efface dans la lumière. L’initié, armé du trident de Siva, Sagesse, Amour et Beauté, détruit le karma qui s’efface comme une chimère. Dans les hauteurs de l’infini gronde l’ouragan de la liberté. Les mains lumineuses des êtres providentiels transforment les âmes animales en âmes humaines et les âmes humaines en âmes divines. La grande roue des siècles tourne sans cesse. Elle élève les Dévas et rabaisse les Assouras. Ces derniers plongent dans le lac du soleil où leurs haillons monstrueux et ténébreux se dissolvent. Après ce bain solaire, les Assouras redeviennent des dévas. Et tous montent– dévas et assouras – vers le soleil des Soleils.

Paix à tous les êtres !

François Brousse
« Wesak 1982 », Revue Dialogues, N°31, juill. 1982

Message d’Amida Bouddha – Wesak 1985
[…] Certains prétendent avoir atteint la conscience cosmique. Ils affirment alors que les liens du bien et du mal n’existent plus pour eux. Aux purs, tout est pur. Doctrine dangereuse, qui exalte la vanité et la cruauté, tapies comme deux dragons dans les cavernes du cœur. En vérité, jamais un humain pur ne tuera soit l’hominal, soit l’animal. Tout chercheur de Dieu s’affirme comme végétarien et non-violent. L’initié respire l’air de la vie universelle. Chaque fois que l’on tue, que l’on fait souffrir consciemment, qu’on dévore du cadavre, on entend le glas des funérailles de l’esprit.

Faut-il avoir un maître, un guide, un gourou ? L’Inde et le Tibet sont d’accord pour proclamer entre l’homme et Dieu, la nécessité d’un homme-dieu. Le Maître, représentant de l’absolu dans le relatif, guide les esprits sur les chemins de la lumière éternelle. Mais comment découvrir son chef sublime dans les taillis du monde des phénomènes ? Sept chemins existent, liés aux sept planètes fondamentales et sur chacun de ces chemins, une multitude de faux maîtres et un seul vrai. Le discernement spirituel devient le talisman nécessaire.

Le Maître est-il indispensable pour obtenir la gloire du Nirvana ? Les hommes errent au fond d’une forêt pleine de bêtes fauves. La nuit farouche pèse sur leur épouvante. Comment sortir de ce ténébreux labyrinthe ? Un véda lumineux prend pitié des humains et emprunte la forme d’un feu follet pour secourir les égarés. Il danse devant les yeux, allant à droite et à gauche, jetant des étincelles aux feux antithétiques. Quelques-uns, parmi les hommes perdus, refusent l’assistance du déva lumineux, à cause de ses apparences déconcertantes. Les malheureux périront, dévorés par les animaux de la forêt pleine de périls nocturnes. Mais ceux qui ont choisi la confiance aux maîtres réalisés suivront la flamme conductrice. Elle les mènera par un chemin sûr vers les horizons divins de la libération. Les disciples sortiront de la forêt ténébreuse et le soleil de l’éternité les baignera de ses clartés rénovatrices.

François Brousse
« Wesak 1985 », dans Revue BMP N°25-26,  juill. août 1985

Message d’Amida Bouddha – Wesak 1986
Pour que l’humain parvienne au divin, il doit traverser l’étape de la mémoire primordiale. La réalisation de soi impose une lucidité totale. On doit donc connaître toutes ses existences antérieures, aussi bien sur cette Terre que dans les terres du ciel, afin de conquérir la conscience totale de soi, donc l’illumination. Les avatars de l’infini ont le pouvoir de communiquer cette suprême connaissance par la dimension qui rayonne au‑delà du temps et de l’espace.

Ô disciples pleins d’amour, veillez et aspirez sans cesse à la Libération. Elle viendra inévitablement, car vos souhaits se réaliseront dans l’intemporel.

François Brousse
« Wesak 1986 », dans Revue BMP N°35–36 mai, juin 1986


Message d’Amida Bouddha – Wesak 1992
Cette joie que tu ressens, tous les cœurs purs de la planète la ressentent en même temps, elle les rendra plus heureux et plus évolués. Maintenant écoute bien mon message. La plus authentique des étymologies de la grande pyramide est Pyr-Amida, le feu d’Amida. L’Himalaya est une grandiose pyramide qui monte vers l’infini. Elle a pour base toute l’ampleur de la planète. Le haut de la pyramide est un pyramidion invisible où se condensent les énergies du Wesak. Elles s’accumulent en énergies salvatrices. Elles se répandent sur le monde et suscitent des actions héroïques, des extases, des sacrifices, des exaltations transfiguratrices. Ce déversement d’énergies fait avancer la Terre tout entière. Il intéresse également les autres planètes du système solaire. Il est le souffle universel.

François Brousse
« Wesak 1992 », dans Revue BMP N°103, sept. 1992

Message d’Amida Bouddha – Wesak 1993
Si les méchants restent méchants, c’est parce qu’on ne les aime pas assez. Il faut que l’amphore de notre amour déborde dans l’infini. Dieu ne cesse pas d’être Dieu, même lorsqu’il ignore qu’il est Dieu. On ne peut atteindre l’infini que par la sagesse infinie. La sagesse est supérieure à l’amour comme le Soleil est supérieur aux rayons qu’il projette.

Soyez bénis dans l’au-delà et dans l’au-delà de l’au-delà.

François Brousse
« Wesak 1993 », dans Revue BMP N°113-114, juin, juill. 1993


Message d’Amida Bouddha – Wesak 1994
Âmes initiées, nous vivons les ultimes instants du Kali Yuga. Considérez les siècles avec un front tranquille, et sous l’angle de l’absolu. Tous les êtres doivent devenir surhumains, ils comprendront la véritable nature de l’illimité. En attendant, je vous adresse ma haute bénédiction. Elle traversera votre supra mental avec la suavité de la suprême extase.

François Brousse
« Wesak 1994 », dans Revue BMP N°123-124, juin, juill. 1994

 

Prière mahayaniste

 

Dans cet illusoire univers,

Dans cet ondoiement de prestiges,

Le bonheur et la vie sèchent comme des tiges

Que l’on plante dans les déserts.

 

Toute joie est vite fanée,

La tombe est le but de nos courses,

Les douleurs affamées rôdent comme des ourses

Sur la neige de nos années.

 

Et vous, pensée des surhumains,

Votre belle sagesse froide,

Comparable au torrent glacial des cascades,

Brûle nos suppliantes mains…

 

Comme le bleu cheval hennit

Vers les constellations de flamme

Mon cœur bondit vers toi, ô tendresse des âmes,

Amida, lumière infinie…

30 août 1947

 

François Brousse
Il existe un Azur, Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 2010, p. 242

Le Maître des maîtres

Quand il y a des problèmes, vous évoquez Amida Bouddha, le Sage des sages, le Maître des grands maîtres tibétains et universels. 

François Brousse
Entretien, Clamart, 21 nov. 1992

Amida Bouddha

Conférence de Jean-Pierre Wenger (Extrait)

Il existe trois textes principaux, trois Sutras, parmi les Écritures bouddhiques, qui le concernent.

On y apprend que dans une antiquité incalculable, il fut d’abord un roi, puis un moine errant sous le nom de Dharmakara quand il rencontra un Éveillé. Il fut tellement bouleversé par cet Éveillé qu’il décida d’en devenir un lui aussi, principalement pour consoler tous les êtres qui ne sont pas délivrés.

Il s’engagea résolument sur la Voie et il prononça 48 vœux d’une profonde détermination dans le but de créer une Terre, un domaine de délivrance pour tous ceux qui l’invoqueront, lui, quand il sera Éveillé.

Sakya Muni précise que Dharmakara a atteint l’illumination la plus complète et qu’il est devenu un Bouddha parfaitement accompli appelé Amida.

En fait Amida a quitté la sphère humaine tout en ne la quittant pas car il est indissolublement lié à tous ceux qui l’invoquent.

Cette disposition fait de lui l’image du Sage suprême et selon François Brousse, il est l’une des puissances cosmiques les plus hautes et les plus extraordinaires[1].

Tel est bien aussi l’avis pour le bouddhisme Vajrayana dans lequel AMIDA ou AMITBHA (deux noms différents pour le même être) est considéré comme un de leurs cinq Dhyani Bouddha[2][3] dont on pourrait dire qu’ils sont des êtres intermédiaires entre l’humanité et la divinité[4].

Un DHYANI BOUDDHA est un Bouddha « sans parents », un Bouddha « spéculatif », « métaphysique », « mystique », un Bouddha de contemplation.

[1] BROUSSE (F.) Entretien, Clamart, 23 sept. 1989
[2] Encyclopédie des mystiques, t. 4, Paris, Éd. Seghers,  1978, p. 34
[3] VAIROCANA : Celui-qui-répand-la-lumière-en-tout-sens. – AKSHOBYA : l’Inébranlable, l’Imperturbable, celui qui subjugue les passions démoniaques et manifeste le pur esprit de l’Éveil. – RATNASAMBHAVA : Né-du-Joyau. – AMOGHASHI : Le-succès-immanquable – AMITABHA : Représenté en méditation et dont le corps émet une lumière comme Sakya Muni après son illumination. (Extrait de LUBAC (H. de), Aspects du Bouddhisme – Amida, Paris, Éd. du Seuil, 1955, p. 29-30)

[4] BROUSSE François, Conférence « Wesak », Paris, 23 juin 1987

Jean-Pierre Wenger
Conférence « Agartha – Wesak », Paris (Librairie Les cent Ciels), 17 nov. 2006