L’Ordre de l’étoile Polaire et Celui qui vient

Perpignan, Imp. Labau, 1974

Présentation

Le 9 décembre 1973, à la suite d’une réunion regroupant sept personnes, François [Brousse] commence la rédaction d’un livre intitulé L’Ordre de l’Étoile polaire et Celui qui vient où il met en relief sa place dans l’histoire ésotérique du xxe siècle.

Trois événements l’incitent à cette initiative. D’abord, il a de nouveau rencontré le comte de Saint-Germain, mais cette fois à Paris le 14 janvier 1973 ; ensuite le passage de la comète Kohoutek et enfin le cycle de quarante-quatre ans qu’il déduit de l’énigme « O.O.O.O. et puis encore O.O.O.O. » figurant dans Asia Mysteriosa. Grâce à l’achat de livres et de revues mis sur son chemin par le hasard ou la providence, l’auteur a pu reconstituer l’histoire obscure de l’Ordre de l’étoile Polaire ou Ordre polaire dont l’une des résurrections a lieu dans le sillage d’Asia Mysteriosa.

Il précise :

Le passé de l’Ordre Polaire remonte jusqu’au Pôle Primordial. Ce fut la grande vérité communiquée au genre humain, il y a de cela dix-huit millions d’années, par l’intermédiaire de la race vénusienne, arrivée de l’étoile du matin sur des chars de feu, et qui, à l’humanoïde primitif, donna la flamme de la connaissance intégrale. L’île de Thulé, où les anciens peuples reçurent la lumière du ciel, se berçait dans l’azur de la Grande Mer qui occupait l’emplacement actuel du désert de Gobi. Les Vénusiens se marièrent aux Terrestres et formèrent une race nouvelle: les Géants, ancêtres de l’humanité. Ce mystère est enclos dans les pages de la Bible. (Extrait de L’Ordre de l’étoile Polaire]

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, Saint-Cloud, Danicel production, 2005, p. 360

Présentation

Le 9 décembre 1973, à la suite d’une réunion regroupant sept personnes, François [Brousse] commence la rédaction d’un livre intitulé L’Ordre de l’Étoile polaire et Celui qui vient où il met en relief sa place dans l’histoire ésotérique du xxe siècle.

Trois événements l’incitent à cette initiative. D’abord, il a de nouveau rencontré le comte de Saint-Germain, mais cette fois à Paris le 14 janvier 1973 ; ensuite le passage de la comète Kohoutek et enfin le cycle de quarante-quatre ans qu’il déduit de l’énigme « O.O.O.O. et puis encore O.O.O.O. » figurant dans Asia Mysteriosa. Grâce à l’achat de livres et de revues mis sur son chemin par le hasard ou la providence, l’auteur a pu reconstituer l’histoire obscure de l’Ordre de l’étoile Polaire ou Ordre polaire dont l’une des résurrections a lieu dans le sillage d’Asia Mysteriosa.

Il précise :

Le passé de l’Ordre Polaire remonte jusqu’au Pôle Primordial. Ce fut la grande vérité communiquée au genre humain, il y a de cela dix-huit millions d’années, par l’intermédiaire de la race vénusienne, arrivée de l’étoile du matin sur des chars de feu, et qui, à l’humanoïde primitif, donna la flamme de la connaissance intégrale. L’île de Thulé, où les anciens peuples reçurent la lumière du ciel, se berçait dans l’azur de la Grande Mer qui occupait l’emplacement actuel du désert de Gobi. Les Vénusiens se marièrent aux Terrestres et formèrent une race nouvelle: les Géants, ancêtres de l’humanité. Ce mystère est enclos dans les pages de la Bible. (Extrait de L’Ordre de l’étoile Polaire]

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, Saint-Cloud, Danicel production, 2005, p. 360

 

L’Ordre de l’étoile Polaire et Celui qui vient est le premier volet d’une trilogie intitulée 

La Trinosophie de l’étoile Polaire (1984, 1ère éd.)

Article de presse

L’ORDRE DE L’ÉTOILE POLAIRE OU FRANÇOIS BROUSSE ET LE MYSTÈRE

Midi-Libre, Perpignan, 6 mai 1975

Extraits

[…] Je ne crains pas de dire que ses meilleures pages valent Anatole France et même René de Chateaubriand. Que François Brousse écrive en prose ou en vers, sa plume jette un embrasement d’étoiles où l’harmonie le dispute à la splendeur.

Quel message nous apporte le prédestiné ? Un élan métaphysique, une méthode de salut et un cri littéraire. L’élan métaphysique proclame cinq vérités fondamentales : l’existence de Dieu, l’éternité de l’âme, la loi des réincarnations, le karma qui enregistre nos actes, enfin les Frères Aînés penchés sur les destins de l’univers.

Mais comment briser les chaînes qui nous attachent aux vies planétaires, à ces corps de chair et de sang, prisons successives de l’âme ? Alors survient une puissante méthode de salut, qui nous fait passer de la mort à l’immortalité et de l’angoisse à la béatitude.

Elle se divise en trois étapes : purification, méditation, contemplation. Elle part de la diététique et monte jusqu’à l’adoration de la divine beauté. Il faut purifier son corps par le végétarisme, et son âme par la pensée d’amour. Toute haine, violence, colère, rancune, doit être rejetée. Ensuite la méditation, avec les Huit Méthodes, nous transporte dans un yoga transcendant, à l’efficacité rayonnante. […]

Cette construction se couronne par un art poétique, où le nouveau romantisme jette un éclat triomphal. Il faut tourner le dos au réalisme, à la vulgarité, à la violence, pour rejoindre les hauteurs du supramental. C’est la réhabilitation de l’idéalisme, dans le cœur embrasé de l’homme et du monde.

Tolstoï prédisait pour le XXe siècle l’arrivée d’un grand poète, dans les pays latins, qui ressuscitera le flambeau de l’idéal. Tolstoï a-t-il prévu François Brousse ? À travers la spirale insolite des temps, l’avenir nous dira la destinée de sa tentative héroïque

Aryane Lecomte 

Un livre de François Brousse

C’est là, sauf erreur le vingt-septième livre de François Brousse et c’est aussi, le titre l’indique, une sorte de nouvel hymne aux grands secrets et mystères qui sont l’élément naturel, l’air et le pain de l’auteur. 

L’Ordre de l’étoile Polaire et Celui qui vient

C’est là, sauf erreur le vingt-septième livre de François Brousse et c’est aussi, le titre l’indique, une sorte de nouvel hymne aux grands secrets et mystères qui sont l’élément naturel, l’air et le pain de l’auteur.

Ce personnage extraordinaire, au plein sens du mot, éprouve une joie réelle à marcher à l’extrême bord des précipices de l’esprit. Là où d’autres reculent effarés ou succombent au vertige, il fait même mieux que marcher : il gambade, il joue à la marelle. Il pousse des palets griffés de signes mystérieux, à travers les cases aux formes étranges, sorties d’une autre dimension de l’esprit et du temps. Et, de temps à autre, il s’arrête pour dévoiler, dans un petit livre d’une expression torrentueuse, quelques-unes des règles, quelques-uns des secrets de ce jeu ésotérique.

À moins que ce ne soient des anti-règles ou des anti-secrets, ou un anti-jeu. Car, si quelques savants commencent (pas en France) à admettre et entrevoir l’antimatière, il y a longtemps que François Brousse, lui, se meut avec aisance dans l’antimonde, qu’il déchiffre et révèle, livre après livre, à travers les « géants » qui en sont ou en furent les manifestations visibles : Ézéchiel, Akhenaton, Zoroastre, Ramon Lull, Nostradamus, Victor Hugo et quelques autres. À travers, aussi la Kabbale, la Bible et des expressions de pensées plus secrètes encore, celles des ordres initiatiques et le langage des correspondances entre les nombres, les lettres, les sons, les cycles de l’histoire…

L’Ordre polaire, donc, nous apprend François Brousse, est né en 1908 sous l’impulsion des Maîtres de l’Himalaya, qui ne sont pas désignés plus clairement mais dont on croit comprendre qu’ils se situent au-delà du temps des hommes. Son livre secret est l’Asia Mysteriosa, qui proclame l’arrivée du Maître futur : Celui qui vient. Il faut lire ces pages imprégnées du souffle insolite d’un monde parallèle.

P. S.

 Journal  inconnu, Perpignan ?, 21 décembre 1974