Revue BMP tome 4

cours de métaphysique, 1986-1987 – 14 euros
Revue BMP N°38, sept. 1986 à BMP N°47-48, juin-juill. 1987

Clamart, Éd. La Licorne Ailée, mars 2012, mars 2015 et févr. 2020

INTERVIEW DE FRANÇOIS BROUSSE SUR SES MÉTHODES ET RESPIRATIONS (Extrait)

Q. : La plupart des respirations que vous préconisez associent le souffle et la pensée. Quel est l’apport spécifique du souffle à la pensée ?

Le souffle est en relation avec le prana universel, immense courant de vie qui baigne les planètes, le Soleil et les organismes animés. La pensée confère au prana une force plus intense qui permet l’ouverture des chakras et la découverte de nouveaux plans psychiques et spirituels.

La science du souffle peut nous procurer la guérison tant physique que morale, la communication avec les entités supérieures, le contact avec la sphère divine et l’illumination permanente. Elle nous ouvre les portes de la libération et de la connaissance intégrale.

Q. : Pourquoi vos respirations utilisent‑elles un rythme trinaire (inspir, rétention, expir), plutôt qu’un rythme quaternaire faisant intervenir en plus la rétention à vide ?

Toutes ces méthodes sont remarquablement fécondes. Néanmoins la respiration trinaire est peut-être mieux adaptée à la tri‑unité de notre personne. Nous sommes en effet composés d’un corps, d’une âme et d’un esprit. La respiration trinaire respecte donc la structure essentielle d’un être humain. L’aspir correspond au corps, la rétention à l’âme et l’expir à l’esprit. […]

Je n’attaque pas les autres méthodes loin de là. Elles ont aussi leurs avantages. Il m’arrive par exemple d’utiliser la méthode binaire, simplement aspir et expir. Il y a 360 000 respirations yoghiques différentes. Le choix est vaste pour ceux qui veulent progresser sur la voie du devenir et de l’accomplissement, mais le chiffre « 3 » est en rapport avec Isis_Uranie ou l’Initiation majeure. […]

François Brousse

Revue BMP N°39, octobre 1986

INTERVIEW DE FRANÇOIS BROUSSE SUR SES MÉTHODES ET RESPIRATIONS (Extrait)

Q. : La plupart des respirations que vous préconisez associent le souffle et la pensée. Quel est l’apport spécifique du souffle à la pensée ?

Le souffle est en relation avec le prana universel, immense courant de vie qui baigne les planètes, le Soleil et les organismes animés. La pensée confère au prana une force plus intense qui permet l’ouverture des chakras et la découverte de nouveaux plans psychiques et spirituels.

La science du souffle peut nous procurer la guérison tant physique que morale, la communication avec les entités supérieures, le contact avec la sphère divine et l’illumination permanente. Elle nous ouvre les portes de la libération et de la connaissance intégrale.

Q. : Pourquoi vos respirations utilisent‑elles un rythme trinaire (inspir, rétention, expir), plutôt qu’un rythme quaternaire faisant intervenir en plus la rétention à vide ?

Toutes ces méthodes sont remarquablement fécondes. Néanmoins la respiration trinaire est peut-être mieux adaptée à la tri‑unité de notre personne. Nous sommes en effet composés d’un corps, d’une âme et d’un esprit. La respiration trinaire respecte donc la structure essentielle d’un être humain. L’aspir correspond au corps, la rétention à l’âme et l’expir à l’esprit. […]

Je n’attaque pas les autres méthodes loin de là. Elles ont aussi leurs avantages. Il m’arrive par exemple d’utiliser la méthode binaire, simplement aspir et expir. Il y a 360 000 respirations yoghiques différentes. Le choix est vaste pour ceux qui veulent progresser sur la voie du devenir et de l’accomplissement, mais le chiffre « 3 » est en rapport avec Isis_Uranie ou l’Initiation majeure. […]

François Brousse

Revue BMP N°39, octobre 1986

Table des matières

Revue BMP tome 4

cours de métaphysique, 1986-1987
Revue BMP N°38, sept. 1986 à BMP N°47-48, juin-juill. 1987

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