La revue Sources Vives

Le président-directeur de Sources Vives, Roland de Miraval – dont le nom rappelle étrangement celui du troubadour Raimon de Miraval [~1165-1229] –, ainsi qu’Aryane Lecomte au Comité de Rédaction ne sont en réalité qu’une seule et même personne : [René] Espeut. […]

Jusqu’en 1965, une parution régulière s’enorgueillit de l’éclosion de trois ou quatre numéros annuels, dans lesquels Brousse occupe une place de choix : quarante poèmes et huit nouveaux livres qui sont des essais ou des recueils de poésie : La Lune, Fille et Mère de la Terre (1958), Antoine Orliac, Poète martiniste (1958), De Pythagore à Camille Flammarion (1960), Une torche aux Astres allumée (1961), L’Éternel Reflet (1963), Sub Rosa – Pensées sans entraves (1964), Hymne à la Joie (1964), Les Clés de Nostradamus (1965).

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, Saint-Cloud, Danicel production, 2005, p. 252

 

 

Fondée par R. Espeut en 1957

Sources Vives accueille « les inspirations les plus diverses, du néo-classicisme à l’ultra-surréalisme » et publie jusqu’en 1963 nombre de textes sur et de F. Brousse. Le dernier numéro (hiver 1979) est un hommage à R. Espeut avec M. Maynard, L. Vilar, F. Brousse.

À partir de mai 1958, Sources Vives acquiert une « assise » avec l’apparition d’un Comité d’Honneur composé de six personnes dont cinq siègent à l’Académie Française 

34 numéros ont paru de février 1957 à hiver 1979, mais 32 ont été publiés de 1957 à 1965, soit 4  par an en moyenne sur 8 ans

La revue Sources Vives

Le président-directeur de Sources Vives, Roland de Miraval – dont le nom rappelle étrangement celui du troubadour Raimon de Miraval [~1165-1229] –, ainsi qu’Aryane Lecomte au Comité de Rédaction ne sont en réalité qu’une seule et même personne : [René] Espeut. […]

Jusqu’en 1965, une parution régulière s’enorgueillit de l’éclosion de trois ou quatre numéros annuels, dans lesquels Brousse occupe une place de choix : quarante poèmes et huit nouveaux livres qui sont des essais ou des recueils de poésie : La Lune, Fille et Mère de la Terre (1958), Antoine Orliac, Poète martiniste (1958), De Pythagore à Camille Flammarion (1960), Une torche aux Astres allumée (1961), L’Éternel Reflet (1963), Sub Rosa – Pensées sans entraves (1964), Hymne à la Joie (1964), Les Clés de Nostradamus (1965).

Jean-Pierre Wenger
François Brousse l’Enlumineur des mondes, Saint-Cloud, Danicel production, 2005, p. 252

 

Fondée par R. Espeut en 1957

Sources Vives accueille « les inspirations les plus diverses, du néo-classicisme à l’ultra-surréalisme » et publie jusqu’en 1963 nombre de textes sur et de F. Brousse. Le dernier numéro (hiver 1979) est un hommage à R. Espeut avec M. Maynard, L. Vilar, F. Brousse.

À partir de mai 1958, Sources Vives acquiert une « assise » avec l’apparition d’un Comité d’Honneur composé de six personnes dont cinq siègent à l’Académie Française 

34 numéros ont paru de février 1957 à hiver 1979, mais 32 ont été publiés de 1957 à 1965, soit 4  par an en moyenne sur 8 ans

Revue Sources Vives