Arbres, pourquoi pleurer dans la forêt profonde ?
Hélas ! Nous gémissons sur le chêne du monde,
Celui qui dans son ombre auguste maria
Le rêve du brahmane aux pleurs du paria.
Ô vents, pourquoi pleurer sur les neiges lointaines ?
Hélas ! nos luths errants plaignent la Grande Haleine,
Le souffle éblouissant qui versait dans les cœurs
Ulcérés par la Terre, un idéal vainqueur.