Blog François Brousse

Amour

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Lettre d’information – Juillet-Août 2023

Lettre mensuelle – Juillet-Août 2023

Maître à l’honneur : GANDHI

Gandhi consacra l’essentiel de sa vie à la libération de l’Inde. Il fut considéré par les Hindous comme l’incarnation de Brahma dont le titre Mahatma, la grande âme, lui fut appliqué par 400 millions d’humains.

François Brousse

Nostradamus ressuscité, t. III, Clamart, Éd. La Licorne Ailée, 1998, p. 327

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La Lumière primordiale

Extrait

Le soleil des soleils est au centre de notre univers–bulle. Il faut trouver autour de lui des milliers de galaxies avec chacune des milliards de soleils environnés d’un cortège de planètes. La lumière du soleil des soleils est la lumière kundalinique, on peut considérer l’univers-bulle comme un être vivant, cela en est un. Il y a une épine dorsale le long de laquelle montent et descendent les forces lumineuses de notre cosmos.
Le soleil des soleils est l’épine dorsale du cosmos. Il est environné d’une lumière prodigieuse composée de deux courants, l’un montant et l’autre descendant, se mêlant autour d’un axe.

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Lettre d’information – Janvier 2022

Lettre mensuelle – Janvier 2022

Thème du mois : LE KALI YUGA

Nous vivons actuellement dans l’âge de fer, que les hindous appel­lent aussi le Kali Yuga, et qui a commencé approximati­vement avec la période de Krishna, vers 3100 av. J.‑C. Nous assistons, en quoi il est intéressant de connaître les grands cycles, au dernier couchant de l’humanité. La civilisation actuelle touche à sa fin. Elle disparaîtra soit en se transformant, ce que j’espère, soit en étant détruite dans une effroyable catastrophe thermonucléaire, ce que je crains. […]

François Brousse

L’Astrosophie ou la Science divine des étoiles, Paris, Éd. Dervy-Livres, 1989, p. 19

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Souvenirs

Extrait

Je prends dans mes bras Diane aux prunelles vertes et aux ailes d’extase.
Ô fille du Soleil, te souviens-tu de nos amours avant de naître ?
Te souviens-tu de nos étreintes angéliques, dans la lumière antérieure ?
Nous ne formions qu’un dieu dans le parfum des fleurs astrales.
Tes yeux étaient les miens, ton cœur battait au fond de mon cœur.
Puis l’androgyne se fendait en deux tendresses face à face…

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L’androgynie n’est-elle pas la fusion avec le maître ?

Réponse

F.B. : La fusion avec le maître est toujours une espèce d’androgynie, car le maître est, en principe, à la fois l’éternel masculin et l’éternel féminin, fondus en une seule synthèse ineffable et divine. Donc, on peut toujours aboutir à n’importe quel androgynat avec le maître, si vous avez un maître réel. Mais si vous avez un maître secondaire, tertiaire ou quaternaire, vous n’aurez absolument rien.

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Pensée divine

Une émotion intense et calme, où se mêlent l’amour fraternel, le sentiment de sa propre immense puissance, l’illimité de l’imagination, suffit quelquefois à ouvrir le chakra supérieur. On perçoit alors comme une ouverture au sommet du crâne qui s’ouvre sur l’abîme de l’Infini. Souvent aussi, la vision se déploie d’une nuit étoilée, galaxies étincelantes. Impression d’exaltante et de terrifiante grandeur.

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Pensée divine

Certains admettent que sur la Terre les plaisirs sont compensés par des douleurs égales. Il y aurait une sorte d’équilibre inexorable où la souffrance serait l’exact reflet de la joie. Possible. Mais le monde de l’esprit, en dehors du temps, échappe à ce sinistre balancement. Les joies de la Beauté, de la Vérité, de l’Amour sont données généreusement, sans contrepartie. Elles forment les rayons de la Grâce divine.

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Dialogue

Extrait

Le formidable éclair de Dieu
Se déverse dans mes prunelles
Et j’entends au paradis bleu
Battre d’immesurables ailes.

Au loin grondent les flots du doute.
Écarte-les avec dédain.

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Propos de François Brousse – Perpignan, 29 octobre 1978

Extrait

Que propose la sagesse de Dieu ? Elle propose la suppression des trois monstres effrayants et gigantesques qui s’appesantissent sur l’être humain. Ces trois monstres se nomment : la haine, la peur et le doute.
La violence ravage tout le globe. Sitôt que l’on prétend vouloir faire triompher une idée, on tire le glaive, et ce glaive jette des rayons sanglants parmi les peuples qu’il pourfend. Nous en avons hélas, depuis le commencement du siècle des exemples quasi quotidiens.

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Rencontre

Cette rencontre est un poème
Tissé d’extase et de soleil,
Il enchante notre sommeil
Cette rencontre est un poème.

Comme un long verre de Bohême
Il vibre d’âme et de réveil
Quel délire serait pareil
À cette dérive suprême ?
Lorsque je murmure « je t’aime »
La Lune jette un feu vermeil.
Notre rencontre est un poème
Scandé par l’éternel soleil.

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L’Avatar

Extrait

L’Avatar est parfait. Il dompte la panthère,
Il console le monde, il trace le chemin.
Même quand il est homme il pense en surhumain
Son âme luit, saphir que nulle ombre n’altère.

Des planètes du gouffre aux jardins de Cythère,
Son rêve est une flamme et son verbe une main
Il montre aux malheureux l’éternel parchemin
D’où le mot Paradis illumine la Terre.

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Je préfère tes yeux

Extrait

Ils meurent dans l’éclat sublime des batailles,
Dans les cris du clairon, dans les bonds du tambour ;
Les corbeaux affamés planent sur leurs entrailles…
Mais moi, je meurs d’amour.

Alexandre, sous son galop foulant la Terre,
Défie le vaste ciel vibrant d’éternité ;
Mais moi, je veux, couché sur des peaux de panthère,
Mourir de volupté.

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Matin

La Lune s’est noyée dans la splendeur de l’air
Sous l’aube qu’à longs traits de flamme je déguste,
Je contemple, paré d’un diadème clair,
L’ombre d’or du Soleil sur les chênes augustes.

Et je pense à tes yeux, que traverse un éclair,
À ta bouche, pareille aux coupes de Locuste,
Ta bouche, où je savoure un immortel éther,
Sous l’aube qu’à longs traits de flamme je déguste…

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La photographie

Extrait

Un soir, j’ai suspendu dans l’ombre de ma chambre,
Cette photographie de vierge pâle et brune.
Elle a des cheveux noirs qui semblent moites d’ambre,
Son visage pensif brille comme la lune.

Souvent pendant la nuit, quand tout rêve et repose,
Sauf l’invisible train qui s’enfuit en sifflant
Ou le vent qui gémit dans les arbres, je pose
Ma plume, pour fixer ce visage troublant.

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Le poète arabe

Extrait

Dans le désert, où ne chantent plus les sources vives,
J’ai la fontaine de tes yeux.

Dans le désert où nul feuillage ne murmure,
J’ai la forêt de tes cheveux.

Dans le désert où pas une liane ne s’enlace,
J’ai le lien souple de tes mains.

Dans le désert où nulle aile ne circule,
J’ai le vol hardi de tes pieds.

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Le message

Extrait

Quand Dieu montre sa face
Et jette son regard
La galaxie s’efface
Dans le lointain hasard.

Ce n’est qu’une préface
Déjà vient le couguar ;
Quoi que le soleil fasse
Le blé meurt au hangar.

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Gandhi

Extrait

Les grands maîtres divins apportent sur le globe
L’étoile de l’amour comme un clair étendard.
Dans la plainte des mers, la blanche Porbandar,
Te vit naître, ô géant dont le front soutient l’aube.

Tu portes, dans les plis mystiques de ta robe,
L’horreur du machinisme aux monstrueux hasards,
La chasteté, pareille à l’œil du léopard
Dont l’éclair sidéral dans la nuit se dérobe.

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Le baiser

Extrait

Quand les divins coursiers, dont l’or est la crinière,
Courbent les flots vermeils sous leurs ardents sabots,
S’engouffrent lentement, ainsi que des flambeaux,
En creusant dans la mer leur flamboyante ornière,

Quand le char du soleil, sous la vague entraînée,
Laisse un faible reflet parmi le ciel immense,
Lorsque du rossignol la céleste romance
S’évanouit dans l’ombre où Vénus pâle naît,

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Statuette

Extrait

Petite statue d’or tu restes dans mon cœur
Et tu y resteras jusqu’à la fin des mondes,
Nos âmes sont unies par des flammes profondes,
L’amour, force de Dieu, est l’éternel vainqueur.

Deux coeurs qui s’aiment sont toujours l’un près de l’autre
La distance n’est pas, le temps n’existe plus,
Du sourire de Dieu nous sommes les élus,
Archange Amour, de toi nous devenons apôtres.

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Profondeur et hauteur

Extrait

Les sauvages secrets de l’antique Solyme
Tombent sur mon front pur, comme l’ombre des cimes
La voix de l’âme emplit l’éther :
Une planète Hercule engloutit Jupiter.

Plongeons au fond des mers pour y cueillir la Perle
L’écume des passions sur mes récifs déferle,
Mais – ô fontaine Baranton ! –
Je bois voluptueusement ta magique chanson !

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