Extrait
Que tombe la pluie printanière,
Elle féconde la cité.
Le ciel vif voile sa clarté,
Que tombe la pluie printanière.
Tu retrouveras la lumière
Au coeur noir de l’éternité.
Même le morne cimetière,
Se réveille à l’immensité.
Extrait
Que tombe la pluie printanière,
Elle féconde la cité.
Le ciel vif voile sa clarté,
Que tombe la pluie printanière.
Tu retrouveras la lumière
Au coeur noir de l’éternité.
Même le morne cimetière,
Se réveille à l’immensité.
Après avoir prié le vrai Dieu, nos douleurs
Nous reviennent parées et couronnées de fleurs
Et la sérénité des étoiles descend
Comme une pluie d’été du ciel adolescent.
La plume des azurs connaît bien la syntaxe
L’immortel vient parler à l’infini des axes.
Extrait
Les dévoreurs de viande
Sont des fous dangereux
Mais notre âme demande
La compassion pour eux.
Prions pour ces errances
Au cerveau déphasé
L’énorme transcendance
Saura bien les briser.
Des planètes entières
Leur offriront l’amour
La connaissance altière
Abaissera leur tour.
Une rose, un baiser, caressant ses flots lents,
Illuminent la mer interminable et sombre
Et des tisons de pourpre aux chocs étincelants
Commencent à rouler sur sa crinière d’ombre.
Les astres alanguis meurent dans la pénombre…