Blog François Brousse

Livre poésie

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Le Chant cosmique de Merlin – 1995

Post face

L’aurore et l’infini sont ses sublimes draps,
Son rêve fait jaillir des tourbillons de mondes
Il attend sur l’abîme, où les étoiles grondent,
Le chevalier futur qui le réveillera.

Car un nouveau Merlin de l’informel viendra

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Le Sourire de l’astre – éd. 1998

Connaître

Le sourire de l’astre épouvante l’abîme,
Les crapauds ont bavé une sueur d’étoiles,
Le temps râpe mon coeur de bronze sous la lime,
L’épouse du soleil ôte ses sombres voiles

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Fantaisies – éd. 2000

La plainte de l’enfant

J’ai faim, j’ai froid, Seigneur… Je vais de porte en porte
Montrer aux cœurs humains mes habits miséreux
Mon aspect maladif importune, de sorte
Qu’on me chasse souvent du banquet des heureux.

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Le Pas des songes – éd. 2001

Dernier poème avant le décès de François Brousse

J’ai traversé les sept cités

La cité de l’inconscience

La cité de l’inconnu

La cité de l’imperfection

La cité de la lumière…

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Vers l’Ailleurs – éd. 2005

ANTHOLOGIE POÉTIQUE

Une anthologie de la poésie de François Brousse, un choix de 108 poèmes parmi plus de 5 000, écrits entre 10 et 82 ans, par une trentaine de ses proches.

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Le Rire des dieux – éd. 2006

Les dieux du Nord

Calmes dans la lueur nocturne de la neige,
Vieillards au front d’airain, dieux glacés des frimas,
Essor de hérons noirs que la foudre enflamma,
Vous fuyez sous le dais auroral des Norvège ;

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Vie lyrique – éd. 2006

Mystérieuse toi

Dans la lumière d’or qui tremble au jour levant

Je vois bondir ton cœur vivant,

Et dans l’éclair d’argent qui luit sur les eaux frêles

Je vois flotter tes mains surnaturelles…

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Les Jardins de la Reine – éd. 2006

Ses yeux

Est-ce une étoile vagabonde ?
Est-ce un paon bleu qui resplendit ?
C’est une jeune fille blonde
Dans la lumière de midi.

Ses regards, me prenant pour cible,
Sont comme une armée invincible.

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La Mort du Mahatma Gandhi – éd. 2008

Arbres, pourquoi pleurer dans la forêt profonde ?
Hélas ! Nous gémissons sur le chêne du monde,
Celui qui dans son ombre auguste maria
Le rêve du brahmane aux pleurs du paria.

Ô vents, pourquoi pleurer sur les neiges lointaines ?
Hélas ! nos luths errants plaignent la Grande Haleine,
Le souffle éblouissant qui versait dans les cœurs
Ulcérés par la Terre, un idéal vainqueur.

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