Chap. I : « Une forme nouvelle de kabbale »
[…] Il est facile de voir dans le mot Arabe le mot Arbre. La philosophie arabe est, sans doute, une des plus belles qui soit, et son approfondissement mérite l’attention exaltée des kabbalistes ; mais l’arbre dont il s’agit est le cèdre de vie et d’éternité, l’immense Yggdrasil dont les racines portent les neuf sphères de l’infini, le pommier céleste qui dressait ses fruits de vie incorruptibles dans le ciel de l’éternité.